1 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
1 éloigné. Partirons-nous ? Troisième journée Barcelone sans taxis, les Ramblas presque déserts, et, dans le port, un petit b
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
2 éloigné. Partirons-nous ? Troisième journée Barcelone sans taxis, les Ramblas presque déserts, et, dans le port, un petit b
3 1951, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Dernière chronique (12 mars 1951)
3 resque tous les pays de l’Europe, de Copenhague à Barcelone , de Cherbourg à Brindisi, et du fond de l’Afrique. Messages de sympat
4 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
4 eure d’avion ; Londres, Bruxelles, La Haye, Bonn, Barcelone et Rome à deux ou trois heures, aujourd’hui. Et s’il faut une armée p
5 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
5 r passa les neuf mois suivant à Fuentarabbia et à Barcelone dans la misère la plus totale, affamé et souvent sans toit. Il dut ve
6 dans sa valise, jusqu’à ses mouchoirs. Un jour à Barcelone , près de mourir de faim, il ne fut sauvé que par une grève générale :
6 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
7 olón) lui furent donnés dans une lettre écrite de Barcelone par Ferdinand et Isabelle le 30 mars 1493 : « Don Cristóbal » rentrai
7 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Deuxième partie. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — 2. Les paradoxes de la vie économique
8 ’étranger pour fonder des succursales : New York, Barcelone , Trieste, Constantine. La guerre de 1914 ruine l’entreprise. Il émigr
8 1965, Fédéralisme culturel (1965). II. « Devenons nous-mêmes ! »
9 lorence, Sienne, Assise, Bruges, Gand, Nuremberg, Barcelone , Oxford, Leyde ou Prague. L’originalité d’une culture ne vient pas se
9 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
10 st et de l’Ouest, les Catalans de Perpignan et de Barcelone , ne sont pas séparés par les Pyrénées, mais par les décrets de Paris
10 1970, Le Cheminement des esprits. Historique — Rapport général présenté à la Conférence européenne de la culture, Lausanne, du 8 au 12 décembre 1949
11 es économiques. À Prague, un débardeur du port de Barcelone , devenu général communiste, enseigne la littérature espagnole. 6. Vo
11 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
12 st et de l’Ouest, les Catalans de Perpignan et de Barcelone , ne sont pas séparés par les Pyrénées mais par les décrets de Paris e
12 1979, Articles divers (1978-1981). Formule d’une Europe parallèle ou rêverie d’un fédéraliste libertaire (1979)
13 e, Bonn25, Copenhague, Strasbourg, Turin, Vienne, Barcelone , Zagreb ou Lisbonne, — distantes en moyenne d’une heure d’avion — ne
13 1979, Tapuscrits divers (1980-1985). Rapport intérimaire pour Ecoropa (27 juillet 1979)
14 ve, Bonn7, Copenhague, Strasbourg, Turin, Vienne, Barcelone , Zagreb ou Lisbonne — distantes l’une de l’autre en moyenne d’une heu
14 1982, Tapuscrits divers (1980-1985). De l’unité de culture à l’union fédérale de l’Europe (18 octobre 1982)
15 982. Copie remise à M. L. Rodriguez pour éunion à Barcelone (?) le 26 octobre 1982. » l. Sous-titre rajouté par nous. m. Sous-t