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rculaire, comme dirait Aragon — et je suppose que
Beausire
et Simond se livrèrent à ce petit jeu avant d’écrire —, que voyons-no
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uelque grande que soit » mon envie — comme disent
Beausire
et la Grammaire — mon envie, ma passion d’admirer, je cherche en vain
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Je le trouve en tout cas bien tonique, celui que
Beausire
et Simond viennent d’écrire au sujet de quelques-uns des meilleurs es
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blème dans toute son ampleur et sa force. » Ainsi
Beausire
nous montre un Barrès tout crispé sur quelques certitudes et quelques
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à Paris prétention. Méditez un peu cette note de
Beausire
: « Barrès se plaint très souvent de ses migraines, de ses gastrites,
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, jamais absent d’ici, et je reprends ma liberté.
Beausire
admire Léonard d’avoir « tracé peut-être pour toujours les limites de
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paraît tout de même la grandeur d’un Ramuz, dont
Beausire
ne veut voir que le maniérisme, non la substance. q. Rougemont Deni