1 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
1 rculaire, comme dirait Aragon — et je suppose que Beausire et Simond se livrèrent à ce petit jeu avant d’écrire —, que voyons-no
2 uelque grande que soit » mon envie — comme disent Beausire et la Grammaire — mon envie, ma passion d’admirer, je cherche en vain
3 Je le trouve en tout cas bien tonique, celui que Beausire et Simond viennent d’écrire au sujet de quelques-uns des meilleurs es
4 blème dans toute son ampleur et sa force. » Ainsi Beausire nous montre un Barrès tout crispé sur quelques certitudes et quelques
5 à Paris prétention. Méditez un peu cette note de Beausire  : « Barrès se plaint très souvent de ses migraines, de ses gastrites,
6 , jamais absent d’ici, et je reprends ma liberté. Beausire admire Léonard d’avoir « tracé peut-être pour toujours les limites de
7 paraît tout de même la grandeur d’un Ramuz, dont Beausire ne veut voir que le maniérisme, non la substance. q. Rougemont Deni
2 1938, Articles divers (1936-1938). Réponse à Pierre Beausire (15 janvier 1938)
8 e ne sais pas si le terme d’adversaire convient à M. Pierre Beausire . Il approuve notre réaction (qu’il dit « parfaitement justifiée ») ;
9 nom de quel principe s’insurgent-ils ? » demande M. Beausire . C’est au nom du personnalisme. Mais qu’est-ce que le personnalisme ?
10 lait à tout prix reprendre les termes choisis par M. Beausire lui-même pour définir notre attitude, je dirais : Le personnalisme, c
11 intiendrait encore dans le seul plan « moral » où M. Beausire nous situe, par un réflexe bien romand ; (qu’il me pardonne !). Le pe
12 mpénitent. ⁂ Je ne sais trop quelle dose d’ironie M. Beausire joint à son vœu final : « Qu’ils s’emparent hardiment du pouvoir dans
13 e dans ces termes ; si cet idéal est possible, si Beausire connaît de tels chefs, ou désire en devenir un, qu’il nous amène ce p
14 81. La réserve indiquée sur « le Suisse », auquel Beausire croit que je crois, résulte d’un malentendu. Je crois à « l’idée suis