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ain du congrès de La Haye. Par l’intermédiaire de
M. Bidault
, il fut présenté à la réunion des ministres des Affaires étrangères d
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sie d’un plan dont le président de la Commission,
M. Bidault
, peut déjà déclarer qu’il s’orientera nettement vers une fédération f
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ngleterre, le roi Léopold en Belgique, le cabinet
Bidault
en France, obtiennent de justesse des majorités peu concluantes ; les
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où je vous parlais, la presse nous apprenait que
M. Georges Bidault
venait, au nom de la France, de proposer la création d’un haut Consei
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a prolonger. Que faut-il penser de la proposition
Bidault
, du point de vue européen ? Faut-il en déduire comme certains journau
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ntrer fortement hésitante devant la suggestion de
M. Bidault
. Certes, celle-ci rejoint l’action très vigoureuse d’une fraction du
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nale ? Certes, la direction générale indiquée par
M. Bidault
est la bonne : c’est celle qu’il nous faudra prendre après-demain, et
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ligent à nous tourner vers l’Amérique. Depuis que
M. Bidault
a proposé le haut Conseil de l’Atlantique, on sent que quelque chose
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lque chose bouge, en Europe. À cet égard, le plan
Bidault
peut être utile même s’il ne doit pas aboutir. Car cette confrontatio
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nsidérés comme monnaie d’échange éventuelle — MM.
Bidault
et Eden l’ont précisé — mais ce sont ces projets qui ont mis l’Occide
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onsidéré comme monnaie d’échange éventuelle — MM.
Bidault
et Eden l’ont précisé — mais ce sont ces projets qui ont mis l’Occide
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ain du congrès de La Haye. Par l’intermédiaire de
M. Bidault
, il fut présenté à la réunion des ministres des Affaires étrangères d
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ement inquiet. — Elle passe au milieu du lac, dit
Bidault
. — Mais alors, s’exclama le Soviétique, les poissons, comment savent-
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re » — comme disait en une autre occasion le même
Bidault
— ; résultats « des viols répétés de la géographie par l’histoire » —
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nos États-nations sont indéfendables aujourd’hui.
Bidault
les a appelées « des cicatrices de l’histoire », ce qui était assez j
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us assure, l’impression est profonde. D’ailleurs,
Bidault
vous a déjà cité hier à l’assemblée. » Maurice Schumann : « Vos lettr