1 nt aussi pour l’état-major des gauches, Daladier, Blum , le Comité de vigilance des intellectuels antifascistes, Déat, Thorez

2 7, c’est l’éventualité de son succès prochain. De Blum qui ne sait pas ce qu’il faut faire, de Daladier qui croit le savoir

3 vention mais ne pratique pas la non-abstention73. M. Blum s’y retrouve, il est intelligent : la non-intervention ménage tout le

4 danger de s’unir (15 avril 1938)e Le ministère Blum a vécu l’espace d’une parenthèse ouverte par l’Anschluss et fermée pa

5 nistres. Le Parti communiste fait crier : « À bas Blum  ! » au Vélodrome d’Hiver, et le lendemain, fait publier par Ce Soir :

6 par Ce Soir : « Les élus communistes exigent que Blum reste au pouvoir ! » Le Parti radical, à la Chambre, soutient un mini

7 te ses capitaux. Antisémite, elle oppose Mandel à Blum . Nationaliste, elle soutient Franco, agent d’Hitler, qui est un ennem

8 t les « actes manqués ». S’il y a eu « expérience Blum  », elle a consisté à empêcher la révolution. Juin 1936 était un espoi

9 ler, en France, parlent en réalité pour ou contre Blum , en toute ignorance d’Hitler. Vous, déserteurs de la bataille économi

10 ler, en France, parlent en réalité pour ou contre Blum , en toute ignorance d’Hitler. Vous, déserteurs de la bataille économi

11 la gauche et de la droite du parti. Hier encore, M. Léon Blum écrivait dans Le Populaire : « On ne fera donc pas les États-Unis d’E