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les Allemagnes ; Vienne pour l’Europe de l’Est ;
Bologne
pour les pays italiens ; Constance pour la Suisse, la Lombardie, etc.
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lie ont modifié pour moi bien des perspectives. À
Bologne
, quelqu’un m’a dit : « Vous êtes un Européen. » Tandis que ma voiture
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de Nancy, Strasbourg, Sarrebruck, Mayence, Turin,
Bologne
et Édimbourg des instituts d’enseignement ou de recherche qui se cons
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es aux origines de notre culture commune, Padoue,
Bologne
, la Sorbonne, Oxford, Coimbra ou Cracovie. Or s’il est vrai que la vi
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sseurs et étudiants ensemble — à tel point que, à
Bologne
, on dût faire des lois terribles contre les « voleurs d’universités »
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ces foyers de création sont les universités — de
Bologne
à Oxford, de Coimbra à Cracovie et de Tolède à Prague ; à la Renaissa
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, ces foyers de création sont les universités, de
Bologne
à Oxford, de Coimbra à Cracovie et de Tolède à Prague ; à la Renaissa
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nts de Belœil ou de Trois-Rivières (comme ceux de
Bologne
paraît-il, où cela se fait encore sur la place) vont jusqu’à discuter
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écoles d’évêchés s’organiseront en universités, à
Bologne
dès 1100, à Paris dès 1200, à Valencia (1209), à Padoue (1288), à Cam
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autogérée. Ainsi des collèges qui apparaissent à
Bologne
, Oxford et Paris : ils forment au sein de ces villes des entités en q
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é de savoir » à l’autre. Ainsi les professeurs de
Bologne
sont-ils choisis par les étudiants et révocables par eux seuls. Ces é
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tous ont vu et admis que la région communiste de
Bologne
se comportait d’une manière exemplaire : les réalités communales et r
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lon leur langue ou leur naissance : leur natio. À
Bologne
, en 1158, une constitution donnée par l’empereur Frédéric Barberousse
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de l’Ombrie à celles des Flandres et du Rhin, de
Bologne
à Oxford, de Tolède à Bruges, de Montpellier à Heidelberg ou de Leyde