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espèce de confession romancée dont les livres de
Bopp
, d’Arland, de Soupault et surtout de René Crevel ont donné les exempl
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raire. Bien sûr, c’est cela, le malaise d’écrire.
Bopp
est très intelligent. Et plein de verve, et pas embarrassé du tout po
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hénomène littéraire. La « Promenade » du héros de
Bopp
est une sorte de pensum. Cela rend peut-être moins convaincantes cert
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a sécurité de cette sorte d’analyse, — encore que
Bopp
ait prouvé dans son Amiel qu’il était de taille à affronter d’autres