1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 espèce de confession romancée dont les livres de Bopp , d’Arland, de Soupault et surtout de René Crevel ont donné les exempl
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
2 raire. Bien sûr, c’est cela, le malaise d’écrire. Bopp est très intelligent. Et plein de verve, et pas embarrassé du tout po
3 hénomène littéraire. La « Promenade » du héros de Bopp est une sorte de pensum. Cela rend peut-être moins convaincantes cert
4 a sécurité de cette sorte d’analyse, — encore que Bopp ait prouvé dans son Amiel qu’il était de taille à affronter d’autres