1
x du soir, soit lentement doublé par le rapide de
Bretagne
. Ce long passage lumineux des vacances, traînée d’espoirs délivrés qu
2
x du soir, soit lentement doublé par le rapide de
Bretagne
. Ce long passage lumineux des vacances, traînée d’espoirs délivrés qu
3
t bientôt prise. Tristan propose de « gerpir » en
Bretagne
. Auparavant, ils iront voir Ogrin l’ermite pour obtenir son pardon —
4
ous les peuples d’origine celtique, du fond de la
Bretagne
et de l’Irlande jusqu’en Italie et en Asie Mineure. Les voyages et le
5
. Plus tard, ce furent des moines d’Irlande et de
Bretagne
— derniers refuges des légendes bardiques conservées justement par le
6
géographique et historique qui va de l’Inde à la
Bretagne
, nous constatons qu’une religion s’y est répandue, d’une manière à vr
7
manichéisant le milieu créateur de la matière de
Bretagne
», écrit Anitchkof (Joachim de Flore, p. 291) après avoir insisté sur
8
s the ear »… Il avait étudié pour son Histoire de
Bretagne
la chronique arthurienne et ses légendes. Et dans le De doctrina chri
9
’est dans une énumération des amants fameux de la
Bretagne
.) On a voulu voir également dans la rivalité de Tristan et de Marc le
10
e même, chez Thomas, le départ de Tristan pour la
Bretagne
n’a plus aucun sens « historique » défini ; etc. C’est pour toutes ce
11
t bientôt prise. Tristan propose de « gerpir » en
Bretagne
. Auparavant, ils iront voir Ogrin l’ermite pour obtenir son pardon —
12
ous les peuples d’origine celtique, du fond de la
Bretagne
et de l’Irlande jusqu’en Italie et en Asie Mineure. Les voyages et le
13
. Plus tard, ce furent des moines d’Irlande et de
Bretagne
— derniers refuges des légendes bardiques conservées justement par le
14
géographique et historique qui va de l’Inde à la
Bretagne
, nous constatons qu’une religion s’y est répandue, d’une manière à vr
15
d de Strasbourg utilise à son gré la « matière de
Bretagne
», et catharise le mythe de l’amour-pour-la-mort avec une liberté don
16
manichéisant le milieu créateur de la matière de
Bretagne
», écrit Anitchkof (Joachim de Flore, p. 291) après avoir insisté sur
17
s the ear »… Il avait étudié pour son Histoire de
Bretagne
la chronique arthurienne et ses légendes. Et dans le De doctrina chri
18
t bientôt prise. Tristan propose de « gerpir » en
Bretagne
. Auparavant, ils iront voir Ogrin l’ermite pour obtenir son pardon —
19
ous les peuples d’origine celtique, du fond de la
Bretagne
et de l’Irlande jusqu’en Italie et en Asie Mineure. Les voyages et le
20
. Plus tard, ce furent des moines d’Irlande et de
Bretagne
— derniers refuges des légendes bardiques conservées justement par le
21
géographique et historique qui va de l’Inde à la
Bretagne
, nous constatons qu’une religion s’y est répandue, d’une manière à vr
22
d de Strasbourg utilise à son gré la « matière de
Bretagne
», et catharise le mythe de l’amour-pour-la-mort avec une liberté don
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manichéisant le milieu créateur de la matière de
Bretagne
», écrit Anitchkof (Joachim de Flore, p. 291) après avoir insisté sur
24
s the ear »… Il avait étudié pour son Histoire de
Bretagne
la chronique arthurienne et ses légendes. Et dans le De doctrina chri
25
’est dans une énumération des amants fameux de la
Bretagne
.) On a voulu voir également dans la rivalité de Tristan et de Marc le
26
e même, chez Thomas, le départ de Tristan pour la
Bretagne
n’a plus aucun sens « historique » défini ; etc. C’est pour toutes ce
27
x du soir, soit lentement doublé par le rapide de
Bretagne
. Ce long passage lumineux des vacances, traînée d’espoirs délivrés qu
28
n, « un public, des appuis », etc., dans sa chère
Bretagne
natale ? Peut-être avez-vous raison de considérer la situation des éc
29
a France d’avant Philippe-Auguste « excluait » la
Bretagne
, l’Alsace, le Languedoc, la Provence, la Bourgogne et la Champagne. C
30
me la France d’avant Philippe Auguste excluait la
Bretagne
, l’Alsace, le Languedoc, la Provence, la Bourgogne et la Champagne. C
31
de, ni la Suisse, ni l’Espagne, ni même la Grande‑
Bretagne
n’ont une capitale comparable à Paris pour le prestige et la nocivité
32
comprenait ni le Languedoc, ni la Provence, ni la
Bretagne
, ni l’Alsace, ni la Lorraine, ni la Bourgogne, ni les Flandres, et c’
33
av. J.-C. Des Gaëls d’Irlande, d’Angleterre et de
Bretagne
, en passant par les Gaulois, jusqu’aux Galates parvenus en Asie Mineu
34
à des Colonnes d’Hercule jusqu’aux Canaries, à la
Bretagne
, aux îles Britanniques et à la mer du Nord, où le Monde cesse… De Car
35
av. J.-C. Des Gaëls d’Irlande, d’Angleterre et de
Bretagne
, en passant par les Gaulois, jusqu’aux Galates parvenus en Asie Mineu
36
à des Colonnes d’Hercule jusqu’aux Canaries, à la
Bretagne
, aux Îles Britanniques et à la mer du Nord, où le Monde cesse… De Car
37
rrière la France, populeuse la Germanie, forte la
Bretagne
, hardie la Pologne, énergique la Hongrie, et combien riche, ardente e
38
e grand duc de Moschouie… Et les roys de la grand
Bretagne
, de Pologne, de Dannemarch, de Suede, du Jappon, de Marroc, le grand
39
t de la Moscovie, comme la Guyenne a besoin de la
Bretagne
et la Bretagne de l’Anjou. L’Europe est un état composé de plusieurs
40
lesse de France, et les intrépides citoyens de la
Bretagne
, que la défense commune pourrait peut-être réunir. En supposant que l
41
la Lorraine, à la Picardie, à la Normandie, à la
Bretagne
, à l’Auvergne, à la Provence, au Dauphiné, à la Bourgogne : Un jour v
42
ité européenne, absolument comme la Normandie, la
Bretagne
, la Bourgogne, la Lorraine, l’Alsace, toutes nos provinces se sont fo
43
ité européenne, absolument comme la Normandie, la
Bretagne
, la Bourgogne, la Lorraine, l’Alsace, toutes nos provinces se sont fo
44
ulture au folklore, l’Écosse aux cornemuses et la
Bretagne
aux coiffes, l’Espagne aux castagnettes et la Suisse aux yodleurs. Im
45
bretonnes, des affichettes jaunes clament : « La
Bretagne
crève ! Pas d’emplois nouveaux, fermeture d’usines, émigration des je
46
dépérissement régional n’est pas particulier à la
Bretagne
. Mais la crise y est si aiguë, la conscience de la crise si vive et l
47
ndication d’un État occitan ou les plasticages en
Bretagne
, qui parfois attirent l’attention légèrement irritée des journalistes
48
bretonnes, des affichettes jaunes clament : « La
Bretagne
crève ! Pas d’emplois nouveaux, fermeture d’usines, émigration des je
49
dépérissement régional n’est pas particulier à la
Bretagne
. Mais la crise y est si aiguë, la conscience de la crise si vive et l
50
ses régions (Mezzogiorno, Sud-Ouest de la France,
Bretagne
, Nord, etc.) fait apparaître le rôle parfois décisif et toujours néfa
51
ctuelles de notre État-nation, c’est-à-dire d’une
Bretagne
, d’une Catalogne, d’une Écosse — ou de l’Europe. Mais nous serons aus
52
ype France, Espagne, Grande-Bretagne, non du type
Bretagne
, Catalogne, pays de Galles ; elles sont donc des États impérialistes,
53
quelquefois par l’ethnie comme dans le cas de la
Bretagne
ou de la Catalogne. Le problème n° 1 de l’Europe, c’est l’union. Si l
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quelquefois par l’ethnie comme dans le cas de la
Bretagne
ou de la Catalogne. Le problème numéro un de l’Europe, c’est l’union.
55
iques nouvelles, et qui enfièvrent tour à tour la
Bretagne
, les Flandres ou le Pays basque. Convergences et diversification, exi
56
0,7 million d’habitants. Ça ne se tient pas ! La
Bretagne
n’est pas une entité économique viable. Et qui parle breton à Rennes
57
iques nouvelles, et qui enfièvrent tour à tour la
Bretagne
, les Flandres ou le Pays basque. Convergences et diversification, ex
58
is la Suisse avec le Jura bernois, plasticages en
Bretagne
, dans le Pays basque, voire en Corse ; agitation plus forte, sourde,
59
7 million d’habitants. Ça ne se tient pas. » « La
Bretagne
n’est pas une entité économique viable. Et qui parle breton à Rennes
60
s. Cependant, elles sont plus transitoires que la
Bretagne
, la Castille, l’Écosse ou Berne, qui existaient bien avant l’État-nat
61
a France d’avant Philippe-Auguste « excluait » la
Bretagne
, l’Alsace, le Languedoc, la Provence, la Bourgogne et la Champagne. C
62
donc proprement respecter les personnalités de la
Bretagne
et de l’Écosse, du Pays basque et du pays de Galles, de la Catalogne,
63
iques nouvelles, et qui enfièvrent tour à tour la
Bretagne
, les Flandres ou le Pays basque. Convergence et diversification, exig
64
ndication d’un État occitan ou les plasticages en
Bretagne
». On sait ce qu’il en est advenu deux ans plus tard. Tout cela dans
65
ses régions (Mezzogiorno, Sud-Ouest de la France,
Bretagne
, Nord, etc.) fait apparaître le rôle parfois décisif et toujours néfa
66
dimensions actuelles de notre État-nation, d’une
Bretagne
, d’une Catalogne, d’une Écosse — ou de l’Europe42. Mais nous serons a
67
million d’habitants. Ça ne se tient pas ! » « La
Bretagne
n’est pas une entité économique viable. Et qui parle breton à Rennes
68
ype France, Espagne, Grande-Bretagne, non du type
Bretagne
, Catalogne, pays de Galles ; elles sont donc des États impérialistes,
69
, et met à la place un terme plus petit, comme la
Bretagne
, ou plus grand, comme l’Europe, est regardé comme un traître. Pourquo
70
iques nouvelles, et qui enfièvrent tour à tour la
Bretagne
, les Flandres ou le Pays basque. Convergences et diversification, exi
71
ltes ethniques qui couvent et parfois éclatent en
Bretagne
ou en Flandres ; les poussées autonomistes au pays de Galles, au Pays
72
e Midi était familiarisé avec la riche matière de
Bretagne
… la Quête du Graal, Gauvain, Perceval, la belle histoire de Tristan e
73
maisons d’hommes. L’ordre essaimera très vite en
Bretagne
, dans le Limousin, le Périgord et le Toulousain et comptera jusqu’à t
74
alement de la France des Chansons de geste, de la
Bretagne
des légendes arthuriennes. 1. Les troubadours ont inventé l’amour a
75
ar les régions (mars 1973)aw ax Plasticages en
Bretagne
, sous-développement du Mezzogiorno, création d’une Direction générale
76
ltes ethniques qui couvent et parfois éclatent en
Bretagne
ou en Flandre ; les poussées autonomistes au pays de Galles, au Pays
77
donc proprement respecter les nationalités de la
Bretagne
et de l’Écosse, du Pays basque et du Pays de Galles, de la Catalogne,
78
ltes ethniques qui couvent et parfois éclatent en
Bretagne
ou en Flandres ; les poussées autonomistes au pays de Galles, au Pays
79
sin méditerranéen, l’Aquitaine avec l’Espagne, la
Bretagne
avec l’Atlantique et la Normandie avec les Anglais. De Gaulle était u
80
n et met à la place un terme plus petit, comme la
Bretagne
, ou plus grand, comme l’Europe, est regardé comme un traître. Pourquo
81
e à la Méditerranée, le Languedoc à l’Espagne, la
Bretagne
à l’Atlantique, et la Normandie aux Anglais. Cinq ans plus tard, le P
82
région qui sont les militants séparatistes de la
Bretagne
ou du Sud-Tyrol, du Pays basque ou du pays de Galles, des Flandres ou
83
pect ethnique et linguistique de régions comme la
Bretagne
, le Pays-de-Galles, le Pays basque, la Catalogne, le Sud-Tyrol, le No
84
es autres étaient transfrontalières, y compris la
Bretagne
, liée au monde atlantique, comme l’avait bien vu le général de Gaulle
85
ue par exemple : les Bretons réclament une région
Bretagne
, mais ils sont obligés de constater que le Breton n’est parlé que dan
86
re parce que les plus grandes dames de France, de
Bretagne
et du Poitou, dont l’ex-femme et la fille de Guillaume IX, viennent y
87
ansposé dans le climat sombre et tempétueux de la
Bretagne
, de l’Irlande et de la Cornouailles. Des analyses de ce « roman par e
88
auguin, sans lui apporter rien d’essentiel que la
Bretagne
n’ait formé d’abord. Il en va de même pour l’influence passagère de l
89
? Les transports d’énergie sont très chers, de la
Bretagne
ou de l’Alsace à Paris : pourquoi ne pas en faire l’économie ? Et si
90
x. (Voilà qui est bien sensible dans le cas de la
Bretagne
. Annexée cette nuit-là, seulement, elle n’a jamais accepté le coup de
91
ffectivement au cours de la dernière décennie, en
Bretagne
comme en Corse, dans le pays de Galles comme en Écosse, en Catalogne
92
radoxe des autonomistes : sans les plasticages en
Bretagne
et les fusillades en Corse, l’opinion française ne se serait pas inté
93
on nomme le régionalisme. Mais ni en Corse, ni en
Bretagne
il ne s’agit d’abord de la région : une nationalité minoritaire exige
94
l’enseignement, comme l’a fait l’État français en
Bretagne
et en Alsace, ni celui de l’imposer — et encore moins celui de réunir
95
, et met à la place un terme plus petit, comme la
Bretagne
, ou plus grand, comme l’Europe, est regardé comme un traître. Pourquo
96
détiennent le mystère de la région. L’âme de la
Bretagne
est sans nul doute dans la forêt de Brocéliande, auprès de la fontain
97
de la rencontre de Merlin et de Viviane. Mais la
Bretagne
bretonnante ne vivra pas sans le pays gallo, sans Rennes et Nantes ;
98
h, 1971. 175. Pour la France : Alsace, Flandres,
Bretagne
, Pays basque, Roussillon catalan, Limousin, Toulousain, Provence, Cor
99
7), peut-être en URSS. L’Écosse, la Catalogne, la
Bretagne
, l’Euskadi et le pays de Galles demandent à devenir « immédiats à l’E
100
l’Écosse à la Catalogne par le pays de Galles, la
Bretagne
et l’Euskadi ; et de l’« Alpazur » (Nice-Cunéo-Imperia) à la région d
101
certain territoire, comme le pays de Galles ou la
Bretagne
, l’Euskadi, la Corse, le Sud-Tyrol, le Jura bernois, etc. Il est cert
102
sur la langue comme paramètre décisif (cas de la
Bretagne
, du pays de Galles, du Pays basque, du Sud-Tyrol, de la Catalogne, du
103
pin. Et je voyais plus loin le pays de Galles, la
Bretagne
, Euskadi, les Catalans… Je voyais des régions décrétées par la capita
104
en français de Paris, dans les langues usitées en
Bretagne
, Alsace, Corse, Roussillon et Pays basque. Elle considère que « l’emp
105
la conquête méthodique des « nations » voisines —
Bretagne
, Normandie, Occitanie, Provence, Bourgogne, Flandres, Navarre, Alsace
106
e dans leurs droits et libertés traditionnelles :
Bretagne
, Pays basque, Roussillon catalan, Aquitaine, Albigeois, Toulousain, P
107
ant « défait » (en tant qu’États indépendants) la
Bretagne
, l’Occitanie, la Provence, etc., Debré et ses amis s’imaginent, c’est
108
: 1. Le traité d’Union de 1532 entre le Duché de
Bretagne
et la Couronne de France n’a nullement « défait » la Bretagne, — du m
109
la Couronne de France n’a nullement « défait » la
Bretagne
, — du moins tant que la France a respecté ses engagements sacrés. Or
110
ope de l’Est.) En France, attentats au plastic en
Bretagne
et en Corse ; en Grande-Bretagne, mouvement écossais et gallois exige
111
ces domaines. Exemples : Écosse, pays de Galles,
Bretagne
, Euskadi, Catalogne, Occitanie, Corse, Sud Tyrol, Val d’Aoste, Alsace
112
ées par leurs ancêtres, à savoir — en France : la
Bretagne
, le Pays basque, l’Occitanie, le Roussillon catalan, la Provence, la
113
linguistiques auxquelles on pense d’abord, comme
Bretagne
, Écosse, Euskadi, Corse ou Sud-Tyrol ; non seulement les régions écon
114
urd’hui existant ; Catalogne, Euskadi, Occitanie,
Bretagne
, pays de Galles, Écosse, Flandres, Alsace, Corse, Sud Tyrol, etc. Ce
115
urd’hui existant : Catalogne, Euskadi, Occitanie,
Bretagne
, pays de Galles, Écosse, Flandres, Alsace, Corse, Sud Tyrol, etc. Ce
116
pin. Et je voyais plus loin le pays de Galles, la
Bretagne
, Euskadi, les Catalans… Je voyais des régions décrétées par la capita
117
e-Bretagne, ses échecs pathétiques en Corse et en
Bretagne
. Je constate qu’il nous mène inexorablement, par les mécanismes démen
118
que posent le Rhin, la navigation au large de la
Bretagne
des pétroliers et des cargos chargés de déchets radioactifs, ou le ba
119
ident le plus dramatique est celui de Plogoff, en
Bretagne
, où Électricité de France veut construire trois-centrales nucléaires.
120
t pour défendre le Léman qu’on se regroupera ; en
Bretagne
, ce sera pour lutter contre les marées noires ou les centrales nucléa
121
te, le non-respect des contrats sacrés (cas de la
Bretagne
) ou par des jeux de traités plus ou moins discutables. L’unification
122
-douzaine de définitions de la région : ethnique (
Bretagne
, Pays basque), linguistique (Alsace), culturelle (Occitanie), géograp
123
en français de Paris, dans les langues usitées en
Bretagne
, Alsace, Corse, Roussillon et Pays basque. Elle considère que « l’emp
124
voir central, tels que les tours de télévision en
Bretagne
, par exemple. Il y a donc toute espèce de définitions des régions, j’
125
de France, une reine d’Angleterre, Nominoë roi de
Bretagne
, des chefs vikings aux noms imprononçables, deux sorcières décapitées
126
atales des ancêtres d’Henri sont nordiques, de la
Bretagne
à la Pologne en passant par la Normandie, la Flandre, le Hainaut, les
127
s Wesdehlen, dont les alliances le reliaient à la
Bretagne
, à la Prusse-Orientale, à Vienne et à Turin. … Toute l’Europe était l
128
e général, des oncles et cousins plus éloignés de
Bretagne
, de Prusse, d’Autriche, d’Italie. Et aussi des deux branches français
129
de former des listes. Ainsi Europe 2000 (régions
Bretagne
), qui annonce ainsi son programme : NOUS VOULONS : — la constructio
130
de Villers-Cotterêts : l’Alsace, les Flandres, la
Bretagne
, les régions basques, les régions catalanes, tout le Languedoc, certa
131
région ? Est-ce une ethnie ou une langue comme la
Bretagne
ou le Pays basque, ou une unité économique ? Dans certains cas, c’est