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ira ces essais. 1. Citons l’un de ces derniers,
M. Brugmans
: « Le mouvement personnaliste néerlandais est né dans un camp d’otag
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et, par là, digne d’être vécue. » (C’est mon ami
Brugmans
, travailliste hollandais, qui parle ainsi devant douze anciens présid
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plaudissements enthousiastes saluant la phrase de
Brugmans
sur le « non-conformisme » européen, m’ont étonné plus que toute autr
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et déterministe à la fois, que l’historien, selon
Brugmans
, se doit de répudier d’abord du seul point de vue de la méthode, sans
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es conséquences politiques qu’elle entraîna. Ici
Brugmans
pose trois questions : Premièrement : Est-il vrai que l’État nation
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En quelques pages nourries d’exemples frappants,
Brugmans
montre pourquoi l’on doit répondre non aux trois questions ; il établ
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sa deuxième partie, les Expériences communes, que
Brugmans
aborde vraiment la « réinterprétation » annoncée. Et cela va nous con
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a la première synthèse spécifiquement européenne.
Brugmans
, comme Dawson et G. de Reynold, s’attache à cette période pour mieux
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dans cette brève recension. Le grand avantage de
Brugmans
, étudiant la période carolingienne ou la formation du Saint-Empire, p
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de l’Allemagne et de l’Italie. Parmi ses chefs :
Brugmans
, Marc, Silva, Voisin, Spinelli, Kogon, von Schenk, Miss Josephy, Adle
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s chefs issus de la Résistance : Spinelli, Kogon,
Brugmans
, Frenay. En même temps, quelques hommes politiques qui ont été de ceu
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m’appelle pour un entretien devant le micro avec
Brugmans
, Robert Aron, Silva et Duncan Sandys, jeune ancien ministre conservat
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nd, Serruys) se rencontraient avec ceux de l’UEF (
Brugmans
, Silva, Voisin) et constituaient un « comité de liaison international
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ements pour l’unité européenne ». Le 15 novembre,
Brugmans
rendait compte de cette réunion devant le comité central de l’UEF. Le
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r, en prenant de grands risques quoi qu’elle fît.
Brugmans
rappelle d’abord l’idée qui a germé à Montreux de « convoquer l’Europ
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non plus, et on se sera paralysé mutuellement. »
Brugmans
propose donc de ratifier l’accord préparé le 11 novembre, à condition
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apide, ou de « devenir une secte », comme l’a dit
Brugmans
. (Mais n’est-ce pas pour avoir accepté ce risque-là que Lénine a gagn
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— et, par là, digne d’être vécue.” (C’est mon ami
Brugmans
, travailliste hollandais, qui parle ainsi devant douze anciens présid
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aquelle M. Denis de Rougemont est maintenant avec
M. Brugmans
le doyen du Conseil qui la gouverne. Je crois qu’il est juste qu’une
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est venue et que nous discutons en déjeunant avec
Brugmans
et Silva. Je l’y encourage vivement. » Nous sommes à Strasbourg de no