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posé le problème en termes fort nets. (Cités par
M. Brunschvicg
dans Le Progrès de la conscience dans la philosophie occidentale, p.
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Hegel auquel on revient parce qu’au contraire de
M. Léon Brunschvicg
, il avait le sens du tragique de la vie. De pareilles « conversations
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question religieuse apparaît comme périmée. Avec
M. Brunschvicg
, il pense qu’un homme de 1931 a dépassé ce « stade », qu’il n’est plu
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es justes proportions l’idéalisme scientifique de
M. Brunschvicg
, philosophe officiel des lumières. De quelles prises, en effet, dispo
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pas un caractère personnel, puisque l’Esprit dont
M. Brunschvicg
nous entretient n’est l’Esprit de personne. Je répondrai tout d’abord
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qui arrive aux hommes en dépit de sa promesse. »
M. Brunschvicg
fait un cours sur la technique du passage à l’absolu, parle de noumèn
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critique semblable à celle que M. Nizan adresse à
M. Brunschvicg
. L’homme en général, même si on l’appelle avec Marx, l’homme concret
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t se substituer à la réelle humanité. C’est, pour
M. Brunschvicg
, le bourgeois. C’est le prolétaire pour Marx. Il s’en faut de beaucou
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ein « le temps naît du moment où il est mesuré » (
Brunschvicg
). Le temps mathématique naît donc aussi d’un acte. Mais le temps dont