1 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
1 posé le problème en termes fort nets. (Cités par M. Brunschvicg dans Le Progrès de la conscience dans la philosophie occidentale, p. 
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
2 Hegel auquel on revient parce qu’au contraire de M. Léon Brunschvicg , il avait le sens du tragique de la vie. De pareilles « conversations
3 question religieuse apparaît comme périmée. Avec M. Brunschvicg , il pense qu’un homme de 1931 a dépassé ce « stade », qu’il n’est plu
4 es justes proportions l’idéalisme scientifique de M. Brunschvicg , philosophe officiel des lumières. De quelles prises, en effet, dispo
5 pas un caractère personnel, puisque l’Esprit dont M. Brunschvicg nous entretient n’est l’Esprit de personne. Je répondrai tout d’abord
3 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
6 qui arrive aux hommes en dépit de sa promesse. » M. Brunschvicg fait un cours sur la technique du passage à l’absolu, parle de noumèn
7 critique semblable à celle que M. Nizan adresse à M. Brunschvicg . L’homme en général, même si on l’appelle avec Marx, l’homme concret
8 t se substituer à la réelle humanité. C’est, pour M. Brunschvicg , le bourgeois. C’est le prolétaire pour Marx. Il s’en faut de beaucou
4 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
9 ein « le temps naît du moment où il est mesuré » ( Brunschvicg ). Le temps mathématique naît donc aussi d’un acte. Mais le temps dont