1
er ces bateaux, disait-il, appuyant le délégué du
Caire
, serait attenter à la souveraineté nationale de l’Égypte. La cause ét
2
mire, du Nagaland, des communistes emprisonnés au
Caire
, du Tibet conquis par la Chine, de l’esclavage dans les pays arabes,
3
r reçut une dépêche lui demandant de se rendre au
Caire
. Il repartit sans hésiter le jour même, et passa la nuit dans les bar
4
orski en route vers la Russie, il fut débarqué au
Caire
, où il apprit enfin le but de son voyage : M. Mikolajczyk, Premier mi
5
angoon, Tokyo, Rhodes, Bâle, Beyrouth, Chiraz, Le
Caire
, Ibadan, Khartoum, Tunis, etc., qui ont tous permis de confronter les
6
arrêter leur guerre à deux heures de la prise du
Caire
. La leçon est absolument claire : la prétention à la souveraineté nat
7
lue, être stoppées à 1h de leur victoire, à 1h du
Caire
par un froncement de sourcils de Monsieur Eisenhower et par un grogne
8
Londres, de Frank le cosmopolite qui habitait Le
Caire
, de Philippe le peintre de la Cour de Suède… L’Europe, elle allait de