1 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
1 ey et Orwell. À la seconde, Thomas More et Bacon, Campanella , Rabelais et H. G. Wells. La plupart sont Anglais, il faudrait voir p
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
2 ule à partir d’elle sur la formation des langues. Campanella se demande si « l’expansion » de Japhet dans les tentes de Sem ne peu
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 3. Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
3 » relatives au Nouveau Monde de Thomas More et de Campanella . Pour les meilleurs esprits du temps, l’Europe ne pose pas de problèm
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 1. Perspectives élargies
4 e Leibniz, Paris 1901, p. 527-528. Notons ici que Campanella le premier, rêva d’une « Académie européenne ». 109. Lettre à Pierre
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Sixième Partie. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — 1. « Tout s’est senti périr »
5 tre science-fiction, en passant par Thomas Moore, Campanella , Cyrano de Bergerac, Jules Verne et H. G. Wells) la notion même de pr
6 1980, Articles divers (1978-1981). Le bilan culturel de la décennie 1970-1980 (1980)
6 l’archéologie ; à l’utopie des Thomas More et des Campanella , le futurisme des arts et de la technologie ; à la découverte de l’es
7 1980, Cadmos, articles (1978–1986). Utopie, technique, État-nation (printemps 1980)
7 pirituel. Toute utopie au sens de Thomas More, de Campanella , de Fourier, est projection dans un avenir et dans un espace donnés d