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amne tout mysticisme qui ne serait, comme le veut
M. Chuzeville
, que la « recherche des moyens par lesquels l’âme arrive à transgress
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est plus qu’une réserve, il convient de remercier
M. Chuzeville
de nous avoir ouvert par son anthologie tout un monde spirituel et po
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n ferme et coulante. La plupart des mystiques que
M. Chuzeville
nous présente sont inconnus du public français, Novalis et Ruysbroeck
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mi les grands mystiques modernes. Mais sans doute
M. Chuzeville
s’est-il laissé guider dans son choix par un préjugé historique que l
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narisme et à l’anarchie » (selon M. Truc), à quoi
M. Chuzeville
ajoute pour sa part l’étatisme absolu, le nationalisme, « l’individua
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agande de guerre » qu’on aimait à croire périmée.
M. Chuzeville
a eu le tort de vouloir y réduire l’évolution du mysticisme allemand,
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her Tauler, dont il cite constamment les sermons.
M. Chuzeville
serait sans doute mieux inspiré s’il développait certaines indication
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ntalité moderne. 35. Ce que je pardonne moins à
M. Chuzeville
, c’est d’écrire que Paracelse « était de nature comédienne, et savait
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’idée de se cacher. – L’érudition considérable de
M. Chuzeville
me paraît parfois hasardeuse. Les travaux de Jean Baruzi lui sont inc