1 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
1 amne tout mysticisme qui ne serait, comme le veut M. Chuzeville , que la « recherche des moyens par lesquels l’âme arrive à transgress
2 est plus qu’une réserve, il convient de remercier M. Chuzeville de nous avoir ouvert par son anthologie tout un monde spirituel et po
3 n ferme et coulante. La plupart des mystiques que M. Chuzeville nous présente sont inconnus du public français, Novalis et Ruysbroeck
4 mi les grands mystiques modernes. Mais sans doute M. Chuzeville s’est-il laissé guider dans son choix par un préjugé historique que l
5 narisme et à l’anarchie » (selon M. Truc), à quoi M. Chuzeville ajoute pour sa part l’étatisme absolu, le nationalisme, « l’individua
6 agande de guerre » qu’on aimait à croire périmée. M. Chuzeville a eu le tort de vouloir y réduire l’évolution du mysticisme allemand,
7 her Tauler, dont il cite constamment les sermons. M. Chuzeville serait sans doute mieux inspiré s’il développait certaines indication
8 ntalité moderne. 35. Ce que je pardonne moins à M. Chuzeville , c’est d’écrire que Paracelse « était de nature comédienne, et savait
9 ’idée de se cacher. – L’érudition considérable de M. Chuzeville me paraît parfois hasardeuse. Les travaux de Jean Baruzi lui sont inc
2 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (2 novembre 1935)
10 la foi et la mystique, comme le fait par malheur M. Chuzeville , on contribue à renforcer un préjugé dont le bénéfice ne saurait être
11 est plus qu’une réserve, il convient de remercier M. Chuzeville de nous avoir ouvert par son anthologie tout un monde spirituel et po
12 n ferme et coulante. La plupart des mystiques que M. Chuzeville nous révèle sont inconnus du public français, Novalis et Ruysbroeck m