1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
1 rien de ce rang-là. Les visiteurs de Lausanne, de Coppet , des coteaux de Cologny ou de Montreux, furent éclatants et parfois s
2 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
2 u : Constant et Staël, et toute la petite cour de Coppet , Gibbon, Schlegel et Sismondi. Ce foyer s’éteint pour un temps. Il en
3 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
3 u : Constant et Staël, et toute la petite cour de Coppet . Ce foyer s’éteint pour un temps. Il en renaît un autre à Bâle : Jaco
4 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Hommage à C. F. Ramuz (mai 1940)
4 opéens dans un canton : Zurich au xviiie siècle, Coppet , Bâle au temps de Burckhardt et de Nietzsche… Mais le centre vaudois
5 1948, Suite neuchâteloise. VI
5 rien de ce rang-là. Les visiteurs de Lausanne, de Coppet , des coteaux de Cologny ou de Montreux, furent éclatants et parfois s
6 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Le Centre européen de la culture (19 juin 1950)
6 lement fixé à Genève et, peut-être, au château de Coppet . La création du Centre européen de la culture avait été demandée d’ab
7 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
7 la science. Au sud, les châteaux de Ferney et de Coppet gardent les traces radioactives des plus brillantes constellations d’
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 5. L’Europe des adversaires de l’empereur
8 e dans l’usage fécond qu’elle a fait de son exil. Coppet devint grâce à elle (comme le lui reprocheront les nationalistes de l
9 1963, Articles divers (1963-1969). Apport à la civilisation occidentale (janvier 1963)
9 issance de la littérature dans les Allemagnes. De Coppet rayonne sur la France le génie de Mme de Staël et de sa cour cosmopol
10 1964, Articles divers (1963-1969). L’idée européenne en Suisse (1964)
10 es européennes, soit par son action personnelle à Coppet , où les meilleurs esprits de nos diverses nations se lient d’amitié,
11 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
11 es européennes, soit par son action personnelle à Coppet , où les meilleurs esprits de nos diverses nations se lient d’amitié,
12 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
12 Gonzague de Reynold, en passant par le groupe de Coppet dans le passé, et de nos jours par un Robert de Traz, ou un Charles-A
13 libérale. Au tournant du xixe siècle, c’est par Coppet , château de Necker où Germaine de Staël tient sa cour, que vont passe
14 t c’est Benjamin Constant qui, par la « trouée de Coppet  », révéleront à la France les génies de Weimar et les grands philosop
13 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Quatrième partie. La Suisse, dans l’avenir européen
15 es européennes, soit par son action personnelle à Coppet , où les meilleurs esprits de nos diverses nations se lient d’amitié,
14 1969, {Title}. L’esprit romand (années 1960)
16 e Staël et Benjamin Constant : par « la trouée de Coppet  », ils vont faire entrer en France la philosophie romantique des Alle
15 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’absence d’une « culture nationale », facteur du développement intellectuel (26-27 septembre 1971)
17 droits de l’homme ». Un peu plus tard, c’est par Coppet , château de Necker où Germaine de Staël tient sa cour, que vont passe
18 lle en Suisse. Stendhal voyait dans le cénacle de Coppet , rassemblé par Mme de Staël, « les états généraux de l’opinion europé
16 1977, Articles divers (1974-1977). Du passé à l’avenir d’une région (27 juin 1977)
19 min Constant, ce sont eux qui, par « la trouée de Coppet  », vont faire entrer en France la philosophie romantique des Allemagn
17 1985, Articles divers (1982-1985). Vocation culturelle de la Suisse en Europe (septembre 1985)
20 t du xixe siècle, c’est par la fameuse Trouée de Coppet , du nom du château de Necker où Germaine de Staël tient sa cour, que