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exactement corme les « bandits d’honneur » de la
Corse
. Elle a la même « morale », si l’on peut dire, et les mêmes susceptib
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ée et de français. Né en Prusse par la faute d’un
Corse
jacobin qui avait d’abord conquis la France, le funeste nationalisme
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ué par l’État français, lui-même confisqué par un
Corse
— patriote humilié et récemment conquis —, a conduit à des guerres d’
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es confins de la patrie qu’ils domineront : de la
Corse
, de l’Autriche ou de la Géorgie. Fils de pays conquis ou humiliés par
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provençal, l’arabe et l’italien, — je pense à la
Corse
, bien entendu. En revanche, le français est parlé dans trois ou quatr
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aucoup plus forte en Angleterre, en Espagne et en
Corse
, là grâce au flegme, ici grâce à la dureté des crânes — sans parler d
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icages en Bretagne, dans le Pays basque, voire en
Corse
; agitation plus forte, sourde, mais très profonde, en Espagne, chez
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démocratiques que Mussolini revendique Nice et la
Corse
d’un côté, Trieste de l’autre, tandis qu’Hitler annonce dans Mein Kam
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s engagements, que l’Italie revendique Nice et la
Corse
, que l’Espagne franquiste bafoue les droits de l’homme, la France réa
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nde, on copie le modèle imposé à la France par un
Corse
. Quant à la langue, elle ne coïncide historiquement et géographiqueme
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plement le modèle jadis imposé à la France par un
Corse
. Il commence donc par exécuter ceux qui la veille encore commandaient
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urs de la dernière décennie, en Bretagne comme en
Corse
, dans le pays de Galles comme en Écosse, en Catalogne comme en Euskad
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les plasticages en Bretagne et les fusillades en
Corse
, l’opinion française ne se serait pas intéressée à ce qu’on nomme le
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ssée à ce qu’on nomme le régionalisme. Mais ni en
Corse
, ni en Bretagne il ne s’agit d’abord de la région : une nationalité m
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ussillon catalan, Limousin, Toulousain, Provence,
Corse
et France proprement dite (Île-de-France, Normandie, Bourgogne, Bourb
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e le pays de Galles ou la Bretagne, l’Euskadi, la
Corse
, le Sud-Tyrol, le Jura bernois, etc. Il est certes très important que
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is, dans les langues usitées en Bretagne, Alsace,
Corse
, Roussillon et Pays basque. Elle considère que « l’emploi du français
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alan, Aquitaine, Albigeois, Toulousain, Provence,
Corse
, Alsace, Lorraine et Flandres — se retourne naturellement en haine co
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En France, attentats au plastic en Bretagne et en
Corse
; en Grande-Bretagne, mouvement écossais et gallois exigeant une « dé
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Galles, Bretagne, Euskadi, Catalogne, Occitanie,
Corse
, Sud Tyrol, Val d’Aoste, Alsace, Flandres, Jura. Leurs doléances et r
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Occitanie, le Roussillon catalan, la Provence, la
Corse
, l’Alsace ; — en Grande-Bretagne : l’Écosse, le pays de Galles, la Co
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n pense d’abord, comme Bretagne, Écosse, Euskadi,
Corse
ou Sud-Tyrol ; non seulement les régions économiques « de développeme
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etagne, pays de Galles, Écosse, Flandres, Alsace,
Corse
, Sud Tyrol, etc. Ce sont les plus évidentes, les plus pittoresques, l
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etagne, pays de Galles, Écosse, Flandres, Alsace,
Corse
, Sud Tyrol, etc. Ce sont les plus évidentes, les plus pittoresques, l
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gique, Grande-Bretagne, ses échecs pathétiques en
Corse
et en Bretagne. Je constate qu’il nous mène inexorablement, par les m
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is, dans les langues usitées en Bretagne, Alsace,
Corse
, Roussillon et Pays basque. Elle considère que « l’emploi du français
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c, certaines parties du comté de Nice et toute la
Corse
. Il faudrait changer entièrement la carte de l’Europe, et notamment d