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r et traitant de la « problématique » européenne.
Curcio
embrasse plus de siècles, Diez del Corral plus d’actualité, Reynold e
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en fonction des problèmes majeurs de leur temps.
Curcio
n’a pas voulu refaire, après tant d’autres, une histoire de l’Europe
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xviiie et xixe siècles allemands — le livre de
Curcio
apparaît parfois moins solide ou moins approfondi dans l’exégèse de c
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utres au cours des deux derniers siècles. Certes,
Curcio
n’a pas tenté de nous imposer une interprétation systématique, à la H
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e de référence, précisément. Au reste, l’œuvre de
Curcio
n’est pas que cela. Elle s’élève tout naturellement, dans ses conclus
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idée européenne chez Machiavel, cf. l’essai de C.
Curcio
in Macchiavelli nel Risorgimento, Milan, 1953. 83. Dulce bellum ine
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pisti e riformatori italiani, Florence, 1943 ; C.
Curcio
: Europa, Storia di un’idea, Vallecchi, Firenze, 1958, et A. Saitta :