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r et l’Occident (septembre 1939)bb bc Mon cher
Davenson
, Votre article brillant, méditerranéen sur mon Amour et l’Occident ,
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e dialogue qui s’est poursuivi entre Rougemont et
Davenson
, après la note de ce dernier dans Esprit d’avril, nous a paru propre
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professeur Henri I. Marrou (c’est le vrai nom de
Davenson
) résume dans son précieux petit livre intitulé Les Troubadours (1961
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stingue. Pour aller tout de suite à l’essentiel :
Davenson
conteste toute assimilation entre amour courtois et amour-passion, di
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t cathares aux xiie et xiiie siècles. Alors que
Davenson
ne craint pas d’écrire qu’« aucun document ne permet de saisir la moi
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é » trop souvent invoquée par Belperron comme par
Davenson
, R. Pernoud, etc. Toutefois, René Nelli, à propos de Durfort précisém
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ns que d’avoir senti juste, je le confesse. Quand
Davenson
, à propos de l’« hypothèse cathare », reconnaît que je ne l’ai pas fo
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rlé p. 127 à 136, en la rapprochant du tantrisme.
Davenson
a bien vu chez les Arabes comment le refus d’accomplir totalement le
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228. Je donne de ces quatre vers la traduction de
Davenson
, op. cit., p. 92, dans son excellent chapitre sur la Musique des trou