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n héraut. l’abbé d’Einsiedeln. deux seigneurs.
Diesbach
. Hornek. l’astrologue de Berne. le récitant. grand chœur.
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) Quel souci vous amène en ce lieu, seigneur ?
Diesbach
. — Chargé d’une mission de très haute importance, je sollicite une e
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au de sa part… Qu’en pense l’envoyé de Berne ?
Diesbach
. — Je pense à cette menace dont il est bruit, vers l’ouest, ce grand
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— Quel est donc le message de ceux de Berne ?
Diesbach
. — Il tient en un mot que tu aimes, ô frère Claus : c’est la paix. J
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est loyal, il t’offre une paix sans condition.
Diesbach
. — Le roi Louis veut protéger nos libertés, convoitées par le Téméra
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? Est-ce là ta grande sagesse, ô frère Claus ?
Diesbach
. — La paix dans la force et l’honneur, et la Suisse au rang des puis
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trangères ? Nos ancêtres n’en voulaient point.
Diesbach
. — Pour assurer notre sécurité. Nicolas. — Notre sécurité n’a qu
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arché ? Hornek. — Réfléchis, frère Claus !
Diesbach
. — Un mot de toi peut déclencher cette avalanche, la grande colère d
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tte dans le lointain.) Scène ix. (Hornek et
Diesbach
se sont concertés, tous deux passés à droite du plan 3.) Hornek. —
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ager, là-bas, vers l’ouest, dans le couchant !
Diesbach
. — Il fait signe, il crie ! Écoutez ! Hornek. — Alerte ! Je l’en
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— Alerte ! Je l’entends ! Il crie : Alerte !
Diesbach
. — Aux armes, les Suisses ! L’armée du duc a franchi nos frontières
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ons vu, qui a fait défaut aux grands desseins des
Diesbach
, des Waldmann, des Reding et des Schiner, mais bien cette unité de go