1 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
1 ’une pieuse « élévation ». Et c’est le mystère du Dieu-homme (du Christ-Jésus) hors duquel toute communion est impossible. Mystère
2 1936, Esprit, articles (1932–1962). Henri Petit, Un homme veut rester vivant (novembre 1936)
2 uestion personnelle que pose à l’homme pécheur le Dieu-homme . Mais ceci dit, et maintenu, — j’admire qu’un incroyant ait su donner
3 1953, Articles divers (1951-1956). Rudolf Kassner (1953)
3 nd, omniprésent, de l’œuvre, c’est le problème du Dieu-homme , d’où naît celui de la personne, générateur de l’Occident. Problème a
4 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
4 nces.   a) La pensée par tensions. — Le dogme du Dieu-homme fut le problème crucial de la spéculation des Pères et de leurs conci
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre III. La spire et l’axe
5 a personne. La spire Si dans la Personne du Dieu-homme les deux natures s’unissent pleinement et sans conflit, il n’en va pa
6 ’elle prend son origine dans la méditation sur le Dieu-homme , n’a pas été sans informer dans notre esprit une certaine manière de
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VII. L’exploration de la matière
7 ciences. a) La pensée par tensions. — Le dogme du Dieu-homme fut le problème crucial de la spéculation des Pères et de leurs conci
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre IX. Les ambivalences du progrès
8 culture européenne, et plus encore la doctrine du Dieu-homme , ont fait du paradoxe une forme de pensée fondamentale et normative p
9 rend immortel, y revient avec insistance. 90. Le Dieu-homme , l’Incarnation, le concept de personne. Aimer Dieu et le prochain — c
8 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
10 même dont nous sommes faits. Tel est le dogme du Dieu-homme . Il implique immédiatement que le corps et la matière existent réelle