1 : on écarte dédaigneusement « cette énormité »33. Diez a montré des ressemblances de forme (rythmes et coupes) entre la lyri

2 : on écarte dédaigneusement « cette énormité33 ». Diez a montré des ressemblances de forme (rythmes et coupes) entre la lyri

3 : on écarte dédaigneusement « cette énormité »26. Diez a montré des ressemblances de formes (rythmes et coupes) entre la lyr

4 ue » européenne. Curcio embrasse plus de siècles, Diez del Corral plus d’actualité, Reynold et Friedrich Heer sont plus pers

5 itué dans une perspective mondiale. Comme Ortega, Diez del Corral aime à se référer aux philosophes et historiens allemands

6 superbe ignorance du monde animé par ses œuvres — Diez del Corral, bon Espagnol, ne manque pas d’évoquer la grande ombre du

7 Madariaga, et plusieurs autres, auxquels s’égale Diez del Corral ? Seul Valéry sut être aussi profond sans pédantisme. cd

8 s moments au Continent qui lui a donné naissance. Diez del Corral reprend le précédent de la décadence hellénistique, invoqu

9 avec G. d’Arboussier, G. Arciniegas, R. Datta, L. Diez del Corral, S. Jargy, B. de Jouvenel, I. Madkour, R. Rao, S. Spender,

10 contrairement à l’Europe, comme nous l’a expliqué M. Diez del Corral, a toujours eu une royauté unique, décidée à tout unifier

11 uivi ces exposés plus longs, interventions de MM. Diez del Corral, Acimovic, Mayer, Lipatti, revenant sur tout le phénomène