1 1939, L’Amour et l’Occident. Livre V. Amour et guerre
1 e de grands politiques sans nom, plus habiles que Dubois , plus insinuants que Bernis, parmi cette petite bande d’hommes qui fo
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
2 e de grands politiques sans nom, plus habiles que Dubois , plus insinuants que Bernis, parmi cette petite bande d’hommes qui fo
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre V. Amour et guerre
3 e de grands politiques sans nom, plus habiles que Dubois , plus insinuants que Bernis, parmi cette petite bande d’hommes qui fo
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 2. Premiers plans d’union
4 en supposant que Pierre Dubois naquit vers 1250. Dubois embrassa la carrière des lois au moment même où s’opérait dans la jud
5 ent sans rompre ses liens avec la cour de France, Dubois entrait au service d’Édouard Ier, roi d’Angleterre. … En 1306, il com
6 la Terre sainte65. … Il est permis de penser que Dubois tenait assez peu au but lointain qu’il assignait à l’activité des nat
7 eilleurs procédés pour conquérir la Terre sainte, Dubois expose un vaste plan de réformes, qui consiste à détruire le pouvoir
8 u roi de France. En 1307 nous trouvons de nouveau Dubois en Normandie. En l’année 1308, il paraît avoir été au plus haut degré
9 nt à Poitiers entre les mains de Philippe le Bel, Dubois proposa au roi de profiter de l’occasion pour se faire élire empereur
10 hrétienne ! Mais cette disposition ne suffit pas. Dubois montre par un exemple détaillé — celui du duc de Bourgogne — comment
11 jet, remarque Lange67, c’est son esprit réaliste. Dubois sait apprécier sobrement et avec perspicacité les éléments du monde p
12 tielle — qui fait aussi l’intérêt — du système de Dubois  : « Le point de départ de son raisonnement est l’existence de l’État,
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 5. Les grands desseins du xviie siècle
13 mes d’État. Enfin, l’on a fait un sort au mot du Cardinal Dubois  : « C’est le rêve d’un homme de bien. » À quoi Th. Ruyssen ajoute : «
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 5. L’Europe des adversaires de l’empereur
14 qualités majeures : 1° il rompt avec la tradition Dubois — Sully — Saint-Pierre des alliances des princes, que Metternich et A
7 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
15 t en conflit, devant qui doivent-ils plaider ? », Dubois répond : non pas devant le monarque universel, mais bien devant un tr
8 1969, {Title}. L’union de l’Europe, modèle d’union dans la liberté (fin des années 1960)
16 Monarchia, I, 14). Le même problème est posé par Dubois  : comment rassembler, discipliner et ordonner en vue de la paix en Eu
9 1981, Cadmos, articles (1978–1986). L’apport culturel de l’Europe de l’Est (printemps 1981)
17 nquante ans plus tôt. Podiebrad reprend l’idée de Dubois et en précise les conséquences politiques dans un gros ouvrage écrit