1 es nos petites pornographies romancées. Lawrence, Faulkner , aujourd’hui Caldwell. On parlait autrefois de gauloiserie. Il faudra

2 rs anglo-américains, un Lawrence, un Caldwell, un Faulkner . (Céline me paraît bien plus sain : il rit.) Voici ce que nous disent

3 i donnerait, avec beaucoup de talent, une page de Faulkner , un poème ; avec moins de talent, un long roman. De cet ouvrage, la c

4 s le Sud-Ouest. Caldwell à Miami ou dans l’Ouest. Faulkner et James Cain en Californie. Aldous Huxley dans un ranch du désert, m

5 ne vois pas de novateurs, non, pas un seul depuis Faulkner . Je ne vois pas un seul penseur qui ait le courage de bouleverser vot

6 et ne doit servir que le parti au pouvoir. Ainsi, Faulkner , Hemingway et Miller, nolens volens, servent Truman (même s’ils ont é

7 « tirer parti » du pessimisme d’un Miller ou d’un Faulkner , pour faire de leurs livres des « rabatteurs de dollars à travers le

8 te en Amérique ; 5° Les œuvres « pessimistes » de Faulkner et surtout de Miller, loin d’être des best-sellers, tirent à 5 ou 20 

9 ulhan, Thomas Mann, Aldous Huxley, Hamsun, Ramuz, Faulkner , Hemingway, Malaparte, sont sortis de milieux protestants, dira-t-on 

10 ns d’œuvres théâtrales, dont la première pièce de Faulkner , le premier grand romancier de l’Amérique, et un drame inédit de Lorc

11 et il serait absurde de prétendre que Hemingway, Faulkner , Graham Greene ou Saroyan aient jamais défendu l’impérialisme, le cap

12 oyce, au Waste Land de T. S. Eliot, aux romans de Faulkner , à la peinture de Picasso — ces œuvres-là, dialectiquement, nostalgiq

13 es américains, plus des deux tiers sans doute (de Faulkner aux plus jeunes compositeurs) vit ainsi, quelques mois par an ou en p