1 vue en citant ici quelques passages de l’étude de Frommel . Nous assistons, chez Pierre Loti, à ce spectacle étrange d’une vie

2 ble. Dès l’année 1886, où il publiait son essai, Frommel donnait ainsi le diagnostic du roman moderne ; ne serait-il pas frapp

3 profondeur des sentiments et leur tristesse, que Frommel exprime au sujet de Mon Frère Yves. Il semble, en effet, que les âme

4 jugements d’un Vinet sur le romantisme, ceux d’un Frommel sur les écrivains qu’il appelle « positivistes » restent à peu près l

5 gger ou Brunner, tantôt l’esprit français, tantôt Frommel et Vinet, — ces Helvètes — tantôt Calvin, qui écrivait en latin des c

6 acher à Harnack, en passant par Charles Secrétan, Frommel et même Renouvier, et à laquelle les récents livres de Bergson vienne