1 1939, L’Amour et l’Occident. Livre V. Amour et guerre
1 u monde. « Le passage de ce prince en Italie, dit Guichardin , fut la source d’une infinité de maux et de révolutions. Les États ch
2 l’Arioste contre les armes à feu. Au surplus, dit Guichardin , « les Français avaient une artillerie plus légère, et dont les pièce
3 t on faisait alors la guerre en Italie » remarque Guichardin . Et ce n’était vraiment qu’un début ! Burckhardt affirme que les déva
4 in, d’émotion sentimentale et spirituelle. 169. Guichardin , Histoire des Guerres d’Italie, I, p. 2. 170. Cité par Fred Bérence,
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
5 u monde. « Le passage de ce prince en Italie, dit Guichardin , fut la source d’une infinité de maux et de révolutions. Les États ch
6 l’Arioste contre les armes à feu. Au surplus, dit Guichardin , « les Français avaient une artillerie plus légère, et dont les pièce
7 t on faisait alors la guerre en Italie » remarque Guichardin . Et ce n’était vraiment qu’un début ! Burckhardt affirme que les déva
8 oin d’émotion sentimentale et spirituelle. 187. Guichardin , Histoire des Guerres d’Italie, I, p. 2. 188. Cité par Fred Bérence,
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre V. Amour et guerre
9 u monde. « Le passage de ce prince en Italie, dit Guichardin , fut la source d’une infinité de maux et de révolutions. Les États ch
10 on faisait alors la guerre en Italie », remarque Guichardin . Et ce n’était vraiment qu’un début ! Burckhardt affirme que les déva
11 oin d’émotion sentimentale et spirituelle. 173. Guichardin , Histoire des guerres d’Italie, I, p. 2. 174. Cité par Fred Bérence
12 Cf. La Défense du crime par Sade, p. 205. 177. Guichardin , op. cit., I, 37-39. Id. pour les citations qui suivent. 178. G. Fe