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u monde. « Le passage de ce prince en Italie, dit
Guichardin
, fut la source d’une infinité de maux et de révolutions. Les États ch
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l’Arioste contre les armes à feu. Au surplus, dit
Guichardin
, « les Français avaient une artillerie plus légère, et dont les pièce
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t on faisait alors la guerre en Italie » remarque
Guichardin
. Et ce n’était vraiment qu’un début ! Burckhardt affirme que les déva
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in, d’émotion sentimentale et spirituelle. 169.
Guichardin
, Histoire des Guerres d’Italie, I, p. 2. 170. Cité par Fred Bérence,
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u monde. « Le passage de ce prince en Italie, dit
Guichardin
, fut la source d’une infinité de maux et de révolutions. Les États ch
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l’Arioste contre les armes à feu. Au surplus, dit
Guichardin
, « les Français avaient une artillerie plus légère, et dont les pièce
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t on faisait alors la guerre en Italie » remarque
Guichardin
. Et ce n’était vraiment qu’un début ! Burckhardt affirme que les déva
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oin d’émotion sentimentale et spirituelle. 187.
Guichardin
, Histoire des Guerres d’Italie, I, p. 2. 188. Cité par Fred Bérence,
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u monde. « Le passage de ce prince en Italie, dit
Guichardin
, fut la source d’une infinité de maux et de révolutions. Les États ch
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on faisait alors la guerre en Italie », remarque
Guichardin
. Et ce n’était vraiment qu’un début ! Burckhardt affirme que les déva
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oin d’émotion sentimentale et spirituelle. 173.
Guichardin
, Histoire des guerres d’Italie, I, p. 2. 174. Cité par Fred Bérence
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Cf. La Défense du crime par Sade, p. 205. 177.
Guichardin
, op. cit., I, 37-39. Id. pour les citations qui suivent. 178. G. Fe