1 us qui nous manquent. Böcklin manque de sobriété, Hodler aussi. D’où l’espèce de niaiserie qui affecte essentiellement les sol

2 us qui nous manquent. Böcklin manque de sobriété, Hodler aussi. D’où l’espèce de niaiserie qui affecte essentiellement les sol

3 us qui nous manquent. Böcklin manque de sobriété, Hodler aussi. D’où l’espèce de niaiserie qui affecte parfois les solennelles

4 , par ailleurs discutable, qu’au xxe siècle avec Hodler  ; entretemps, un Liotard, un Füssli, un Boecklin restent des petits m

5 Spitteler et d’un Ramuz pour la littérature, d’un Hodler et d’un Paul Klee pour la peinture, d’un Alberto Giacometti pour la s

6 us qui nous manquent. Böcklin manque de sobriété, Hodler aussi. D’où l’espèce de niaiserie qui affecte essentiellement les sol

7 ir l’idée du Retour éternel.) Toute la carrière d’ Hodler s’est faite en Suisse, et il a peint la Suisse dans toutes ses dimens

8 . Paul Klee : à tous égards, c’est l’antithèse d’ Hodler . Petites toiles sans sujet, raffinement des couleurs, beaucoup de bon

9 1804), les tableaux historiques de Füssli, puis d’ Hodler , les élans lyriques de Victor Hugo, de Michelet, de tant d’autres rom