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l’abbé d’Einsiedeln. deux seigneurs. Diesbach.
Hornek
. l’astrologue de Berne. le récitant. grand chœur. chœur des
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ond visiteur ? Peut-il se présenter lui-même ?
Hornek
. — Le chevalier Burckhardt de Hornek ! J’apporte au frère Claus un t
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ui nous entend, et de mon peuple qui m’écoute.
Hornek
. — L’empereur t’envoie son salut ! Il se souvient de ta vaillance da
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las. — L’archiduc ! Qu’attend-il en échange ?
Hornek
. — Il n’attend rien que votre paix ! Nicolas. — Ce langage est n
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oilà bien gardé par le renard et par le loup !
Hornek
. — L’archiduc est loyal, il t’offre une paix sans condition. Dies
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! Ne tentez pas les Suisses, beaux seigneurs !
Hornek
. — Nous n’offrons que la paix. Pourquoi parler de tentation ? Est-ce
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ire, nulle puissance ne peut rien contre nous.
Hornek
. — Prends garde, frère Claus ! Le Téméraire vous guette, il s’arme !
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a guerre, à vous la gloire, c’est ton marché ?
Hornek
. — Réfléchis, frère Claus ! Diesbach. — Un mot de toi peut décle
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se. Trompette dans le lointain.) Scène ix. (
Hornek
et Diesbach se sont concertés, tous deux passés à droite du plan 3.)
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oncertés, tous deux passés à droite du plan 3.)
Hornek
. — Holà ! Je vois un messager, là-bas, vers l’ouest, dans le couchan
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iesbach. — Il fait signe, il crie ! Écoutez !
Hornek
. — Alerte ! Je l’entends ! Il crie : Alerte ! Diesbach. — Aux ar