1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Jean Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)
1 t de la mort », un titre s’effaçait dans l’ombre. Jouve a rêvé une histoire de passion mystique et de crime, intense et tragi
2 l’étrange apaisement d’une vieillesse au soleil. Jouve semble avoir hésité entre plusieurs styles de roman. Un chapitre d’ob
3 s profonde. (Il serait aisé de montrer quel parti Jouve a su tirer des complexes de famille freudiens, ou d’analyses de démen
4 e » et prévue, l’originalité foncière du roman de Jouve reste indéniable : c’est son mouvement purement lyrique, sa progressi
2 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
5 mais jamais abstraite qui est celle de ses Noces. Jouve est le plus « germanique » des poètes français d’aujourd’hui ; ce son
6 sur la folie de Hölderlin que MM. Groethuysen et Jouve ont choisis et traduits à la suite des poèmes, ils ne sont pas ce que
3 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (printemps 1979)
7 est totalement négative. Dans les deux volumes de M. Edmond Jouve cités plus haut, qui sont censés rassembler tous les discours, propos
8 st le plus souvent et le plus volontiers cité par Jouve — n’ont cessé de proclamer que le régionalisme assimilé au séparatism