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itisme occidental qu’aux vantardises soviétiques.
Lippmann
, comme la plupart de nos intellectuels, se dit en somme : — Nous n’av
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sans, buts, sinon de devenir le but des pauvres ?
Lippmann
ne voit rien au-delà, n’a rien à proposer (qu’une reprise de confianc
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e compétition — la grande idée que vous proposera
M. Lippmann
pour réveiller vos énergies sera-t-elle de « faire mieux que la Russi
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t fera s’endormir l’Histoire ? Ni Khrouchtchev ni
Lippmann
n’ont parlé de liberté, de sagesse, de sens de la vie. Comme si la ri