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rean, écrite en latin, et commentée par Myconius,
Lucernois
réformé, sur la demande de Zwingli et de Vadian. C’est encore un ami
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llemande. » Enfin, un Suisse primitif, Hans Erni,
Lucernois
de vieille souche mais homme de gauche : plus près de Tell que les co
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ert de la tradition suisse. Quant à Oscar Eberle,
Lucernois
, on lui doit entre autres les admirables mises en scène du Théâtre du
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iographie du xixe siècle de suivre les traces du
Lucernois
, quitte à corriger sur plus d’un point ses jugements certes scrupuleu