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éologien, et de la Tchaux, n’a pas la foi. Topin,
Mahomet
désabusé, constate que jamais « la Montagne » ne saura venir au proph
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l’Italie. Quant aux chrétiens non européens, que
Mahomet
se vante de dominer, Pie II a tôt fait de les exclure en tant que fau
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nclus à Florence et sont demeurés dans l’erreur.
Mahomet
comprendrait vite la puissance des chrétiens, dit le pape, s’il appro
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-à-dire de l’intérieur de l’Europe. Tandis que si
Mahomet
accepte la conversion (comme un autre Constantin), le pape lui promet
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ent dans l’indigence et dans l’obscurité, lorsque
Mahomet
anima leurs corps sauvages du souffle de l’enthousiasme. II. L’empire