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es » — comme disent Simond et ce grand potache de
Maldoror
. « Qu’on nous montre un homme… » Un ou deux. Il suffit de très peu de
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ée un vaste poème en prose intitulé Les Chants de
Maldoror
. De 1870 jusqu’à la guerre son influence fut « quasi nulle », et peut
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dépendance. Il dégage le sujet de l’épopée qu’est
Maldoror
— la révolte de l’homme contre son Créateur — et il analyse les princ
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rêveries de certaines pubertés ; quant à l’amour,
Maldoror
ne paraît pas de taille à le concevoir au-delà de sa tendresse pour l
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« antilittéraire » et des révoltes au hasard d’un
Maldoror
. Elle demande une pensée forte et orientée plutôt que ces éclats de v