1 e roi François Ier fut complètement battu. Mais à Marignan , en 1515, les Suisses furent contraints de quitter le terrain après d

2 ancienne Confédération. Le crépuscule sanglant de Marignan marque la fin du rêve héroïque de Schiner. Mais cet échec militaire n

3 erminée trois siècles auparavant sur la plaine de Marignan . ⁂ Lorsque éclata la Révolution française, la Suisse se vit brusqueme

4 wingli au début du xvie siècle, et la défaite de Marignan elle-même n’eussent peut-être pas suffi, si les divisions religieuses

5  ?) Bref, ce n’est pas la Suisse de Morgarten, de Marignan , ou du xviiie siècle, ni même celle de 1848 qu’il s’agit de sauver a

6  ?) Bref, ce n’est pas la Suisse de Morgarten, de Marignan ou du xviiie siècle, ni même celle de 1848 qu’il s’agit de sauver au

7 3 septembre de 1515, la « bataille de géants » de Marignan , le cardinal et prince d’Empire Mathieu Schiner, à cheval sur sa mule

8 ille, marque la fin d’une épopée. Une année après Marignan , à Fribourg en 1516, les Ligues concluent avec François Ier un traité

9 300 000 couronnes d’indemnité pour la campagne de Marignan , sans compter les pensions accordées aux Ligues rhétiques, aux alliés

10 ipauté, et dans les très grandes occasions, comme Marignan , la Coupe d’Europe. Les contingents de nos cantons faisaient la guerr

11 lité qui s’instaure au lendemain de la défaite de Marignan résulte donc nécessairement du système des alliances inégales, et les

12 ohérente et suivie. Pour la première fois, depuis Marignan , la neutralité n’était plus pour elle une nécessité imposée par l’abs

13 d’incompatibilité. Le système devait se gripper. Marignan fut le signal d’alarme décisif. La neutralité militaire fut au début

14  ?) Bref, ce n’est pas la Suisse de Morgarten, de Marignan , ou du xviiie siècle, ni même celle de 1848 qu’il s’agit de sauver a