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Les pressions étrangères, venant de la France, de
Metternich
, ou de la Grande-Bretagne, finissaient donc, dans la plupart des cas,
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rotestant pourtant, mais d’abord antilibéral), de
Metternich
, du tsar, du roi de Sardaigne et du roi de Prusse. La France lui four
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sans plus de logique, tous les « von » allemands (
Metternich
, Goethe, Leibniz, etc., etc.) ne sont pas groupés sous V, comme il ar
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ntime de la politique autrichienne, bras droit de
Metternich
et secrétaire du congrès de Vienne, avait été dès sa jeunesse un disc
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les vrais intérêts de l’Europe tout entière. Et
Metternich
lui-même, l’un des principaux inspirateurs de ces Traités, déclarait
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lly — Saint-Pierre des alliances des princes, que
Metternich
et Alexandre allaient tenter de réaliser, en vain, et il propose l’él
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bles illusions de son temps. Dénoncé par le vieux
Metternich
comme un danger public pour toute l’Europe, redouté par Cavour qui so
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e de l’Europe… L’abbé de Pradt, contemporain de
Metternich
, publie en 1823 un « Parallèle de la puissance anglaise et russe rela
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n’est qu’un nom, « un terme géographique » (comme
Metternich
le disait de l’Italie) si elle n’est pas perçue comme une entité hist
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Saint-Empire et de la Sainte-Alliance des rois de
Metternich
, il substitue l’idée de la « Sainte-Alliance des peuples » de Bérange
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litique européenne et de la mettre sous tutelle. (
Metternich
n’avait accepté qu’à contrecœur l’acte de neutralité, qui arrangeait
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ent Mélanie et Pauline — comtesse de Pourtalès et
princesse Metternich
— dames d’antan, et qui furent de ces grandes corolles posées sur la