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mes à la lumière, qui est leur seule liberté. (De
Monarchia
, III, XVI.) Dans un tel système, point de place pour la souveraineté
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ome par Clément V, que Dante écrit en 1308 son De
Monarchia
. (Il a 46 ans, et il n’a composé de sa Comédie que l’Enfer.) Le parad
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elix Alcan, Paris, 1933, qu’on va citer. 57. De
Monarchia
, I, 4. 58. Ibid., I, 5. 59. Ibid., I, 10. 60. Op. cit., I, 14.
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6 et 1308. L’un est l’œuvre de Dante, c’est le De
Monarchia
, l’autre d’un conseiller de Philippe le Bel, Pierre Dubois. Tous les
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rra se reporter pour le contexte. 22. Dante, De
Monarchia
, écrit en 1308, en latin, cité d’après la traduction française de B.
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nsi, la considération d’un traité de Dante (le De
Monarchia
, qui date de 1308) et d’un plan confédéral de Pierre Dubois (le De Re
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ne de confusion dans les principes universels (De
Monarchia
, I, 14). Le même problème est posé par Dubois : comment rassembler,
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t menacée, ainsi que Dante va l’écrire dans le De
Monarchia
, par « le monstre aux multiples têtes » de l’État national naissant,
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e profonde révolution païenne. Dans son traité De
Monarchia
, qui date de 1308, il s’écrie : « Ô genre humain de quelles luttes et