1 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
1 les plis de ces hauts rideaux dorés, pour écouter Mozart et attendre, qui sait ? — qu’une femme s’appuie… Il faudrait aller au
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
2 les plis de ces hauts rideaux dorés, pour écouter Mozart et attendre, qui sait ? — qu’une femme s’appuie… Il faudrait aller au
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
3 on les perd. Souvenirs de Salzbourg et de Prague, Mozart et Rilke, et la Vienne de Schubert — à l’heure où sombrent des nation
4 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
4 e pourrait m’opposer qu’un seul exemple, celui de Mozart . Mais il suffit de lire ses Lettres pour constater que la « grâce » o
5 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
5 r. Nous n’avons qu’une dizaine de disques : Bach, Mozart , Stravinsky, Honegger. De Milhaud, l’ouverture des Euménides, emporté
6 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
6 on les perd. Souvenirs de Salzbourg et de Prague, Mozart et Rilke, et la Vienne de Schubert — à l’heure où sombrent des nation
7 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
7 e Commandeur lui tend la main, au dernier acte de Mozart , rachetant par cet ultime défi des lâchetés qui eussent déshonoré un
8 e. Et Don Juan bondit sur la scène : de Molière à Mozart , c’est la grande éclipse du mythe. Mais à partir du roman de Rousseau
9 pression achevée que dans la forme de l’opéra. Si Mozart et Wagner nous ont donné les chefs-d’œuvre du drame musical, c’est en
10 ctrine fabuleuse , en préparation. 141. Celui de Mozart plutôt que celui de Molière, beaucoup moins significatif à mon avis,
8 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
11 ain tendue au Commandeur, dans le dernier acte de Mozart . Non, ce n’est pas l’animal, mais l’homme ; et non d’avant, mais d’ap
9 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
12 e Commandeur lui tend la main, au dernier acte de Mozart , rachetant par cet ultime défi des lâchetés qui eussent déshonoré un
13 e. Et Don Juan bondit sur la scène : de Molière à Mozart , c’est la grande éclipse du mythe. Mais à partir du roman de Rousseau
14 pression achevée que dans la forme de l’opéra. Si Mozart et Wagner nous ont donné les chefs-d’œuvre du drame musical, c’est en
15 octrine fabuleuse, publié en 1947. 159. Celui de Mozart plutôt que celui de Molière, beaucoup moins significatif à mon avis,
10 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
16 e Commandeur lui tend la main, au dernier acte de Mozart , rachetant par cet ultime défi des lâchetés qui eussent déshonoré un
17 e. Et Don Juan bondit sur la scène ; de Molière à Mozart , c’est la grande éclipse du mythe. Mais à partir du roman de Rousseau
18 pression achevée que dans la forme de l’opéra. Si Mozart et Wagner nous ont donné les chefs-d’œuvre du drame musical, c’est en
19 he : Les Mythes de l’amour, 1967.) 148. Celui de Mozart plutôt que celui de Molière, beaucoup moins significatif à mon avis,
11 1942, La Part du diable (1944). Troisième partie. Le diable démocrate
20 e intimement chéri depuis longtemps — Monteverde, Mozart ou Bach — et qu’une bien gentille dame et ses charmants amis l’écoute
12 1942, La Part du diable (1982). Troisième partie. Le diable démocrate
21 intimement chéri depuis longtemps, — Monteverdi, Mozart ou Bach — et qu’une bien gentille dame et ses charmants amis l’écoute
13 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
22 on les perd. Souvenirs de Salzbourg et de Prague, Mozart et Rilke, et la Vienne de Schubert — à l’heure où sombrent des nation
23 litaire à la frontière Écouté la radio : opéra de Mozart . Et dans une seule bouffée, toutes ces nuits de Vienne, élégantes pas
14 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
24 rrect et bien banal. On essaie de parler musique, Mozart et Stravinsky — deux des principales victimes de son film. Il coupe c
15 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
25 on les perd. Souvenirs de Salzbourg et de Prague, Mozart et Rilke, et la Vienne de Schubert — à l’heure où sombrent des nation
16 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
26 erne. 24 mai 1940 Écouté la radio. Opéra de Mozart . Et dans une seule bouffée, toutes ces nuits de Vienne, élégantes pas
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — III. Une « tasse de thé » au palais c…
27 les plis de ces hauts rideaux dorés, pour écouter Mozart et attendre, qui sait ? qu’une femme s’appuie… Il faudrait aller au b
18 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
28 r. Nous n’avons qu’une dizaine de disques : Bach, Mozart , Stravinsky, Honegger. De Milhaud, l’ouverture et la conclusion des E
19 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le bon vieux temps présent
29 on les perd. Souvenirs de Salzbourg et de Prague, Mozart et Rilke, et la Vienne de Schubert — à l’heure où sombrent des nation
20 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
30 erne. 24 mai 1940 Écouté la radio. Opéra de Mozart . Et dans une seule bouffée, toutes ces nuits de Vienne, élégantes pas
21 1947, Vivre en Amérique. II. Vie culturelle et religieuse
31 rrect et bien banal. On essaie de parler musique, Mozart et Stravinsky — deux des principales victimes de son film. Il coupe c
22 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
32 ain tendue au Commandeur, dans le dernier acte de Mozart . Non, ce n’est pas l’animal, mais l’homme, et non d’avant, mais d’apr
23 1949, {Title}. Présentation du Rapport général de la Conférence européenne de la culture à Lausanne (8 décembre 1949)
33 prières. C’est par la musique seule de Bach ou de Mozart que nous en possédons la substance idéale, que nous en respirons le c
24 1950, Articles divers (1948-1950). Raisons et buts d’une conférence (janvier 1950)
34 prières. C’est par la musique seule de Bach ou de Mozart que nous en possédons la substance idéale, que nous en respirons le c
25 1950, Lettres aux députés européens. Troisième lettre
35 de l’Europe. Vous êtes, Messieurs, les députés de Mozart , de l’opéra, des symphonies et des Passions ; les députés de Goethe e
26 1950, Lettres aux députés européens. Quatrième lettre
36 tative, Quelqu’un qui ne se sent pas le député de Mozart , ni d’Athènes, ni de Rome, ni de rien à vrai dire de ce qu’a pu signi
27 1950, Lettres aux députés européens. Cinquième lettre
37 ne ne veut mourir, que pour des raisons de vivre. Mozart n’en est plus une pour les chômeurs. Et ce n’est pas une secte politi
28 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
38 de l’Europe. Vous êtes, Messieurs, les députés de Mozart , de l’opéra, des symphonies et des Passions ; les députés de Goethe e
29 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
39 tative, Quelqu’un qui ne se sent pas le député de Mozart , ni d’Athènes, ni de Rome, ni de rien à vrai dire de ce qu’a pu signi
30 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
40 ne ne veut mourir, que pour des raisons de vivre. Mozart n’en est plus une pour les chômeurs. Et ce n’est pas une secte politi
31 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, on vous attend encore au pied du mur ! (4 octobre 1950)
41 ne ne veut mourir, que pour des raisons de vivre. Mozart n’en est plus une pour les chômeurs. Et ce n’est pas une secte politi
32 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
42 discuter ou qu’il tient des propos fantaisistes. Mozart , qui composait des menuets à sept ans, avait sans doute la vocation d
33 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
43 temps, que ne le furent un Rameau, un Haydn ou un Mozart . Pourquoi cela ? Parce qu’ils écrivent de la musique en connaissance
34 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
44 ans l’église où l’on chante des chœurs. Messes de Mozart , Passions de Bach : je ne sais rien de plus européen, ni de plus véri
35 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Chapitre I. Où les voies se séparent
45 ans l’église où l’on chante des chœurs. Messes de Mozart , Passions de Bach : je ne sais rien de plus européen, ni de plus véri
36 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre IX. Les ambivalences du progrès
46 atonales ou bruiteuses représente un progrès sur Mozart . Car on ne peut « dépasser » Mozart : il se suffit. Il n’est pas une
47 n progrès sur Mozart. Car on ne peut « dépasser » Mozart  : il se suffit. Il n’est pas une étape transitoire dans une recherche
37 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle des festivals dans la vie culturelle de l’Europe [Commentaires] (mai 1957)
48 ales populaires, les Jeunesses musicales, Bach et Mozart et Tchaïkovski sifflotés dans les rues de toutes nos villes. Pour le
49 Budapest », voilà qui est sûr ; mais en revanche, Mozart peut donner plus de joie à Salzbourg que n’importe où ailleurs. Et il
38 1957, Articles divers (1957-1962). Le rôle mondial des valeurs occidentales (octobre 1957)
50 ennes tient dans l’œuvre de Bach et dans celle de Mozart . La Messe en ut mineur réduit à peu de chose toute tentative verbale
39 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). … Et dona ferentes (Remarques sur la diffusion inégale de nos valeurs et de nos produits)
51 ennes tient dans l’œuvre de Bach et dans celle de Mozart . La Messe en ut mineur réduit à peu de chose toute tentative verbale
40 1961, Articles divers (1957-1962). Nos meilleurs esprits (1961)
52 mpositeurs du plus haut rang. Hölderlin et Keats, Mozart et Rubens, Shakespeare et Dostoïevski seraient impensables en tant qu
41 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — V. Invasion de l’érotisme au xxe siècle
53 une prise de conscience trop longtemps différée. Mozart est le plus grand interprète de Don Juan, mais ce n’est pas lui qui a
54 assumer sa personne. 13. La grande musique, de Mozart à nos jours, est érotique ; elle annonce les très rares révolutions e
42 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Deux princes danois. Kierkegaard et Hamlet
55 discuter ou qu’il tient des propos fantaisistes. Mozart , qui composait des menuets à sept ans, avait sans doute la vocation d
43 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Don Juan
56 ain tendue au Commandeur, dans le dernier acte de Mozart . Non, ce n’est pas l’animal, mais l’homme, et non d’avant, mais d’apr
44 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
57 es passions jouissent d’elles-mêmes.23 » L’un par Mozart et l’autre par Wagner accède au cœur du mythe qu’il n’a pu que rêver,
58 de la nuit tranquille du cloître. Enfin, c’est à Mozart , écrira-t-il plus tard — dans les Étapes — qu’il aura dû de n’avoir p
59 the. La thèse de Kierkegaard sur Don Juan rejoint Mozart dans sa génialité : elle réinvente la structure du drame comme par un
60 e par Kierkegaard n’est pas seulement inspirée de Mozart  : elle a pour but de démontrer que l’opéra de Mozart est le mythe pur
61 art : elle a pour but de démontrer que l’opéra de Mozart est le mythe pur, intégralement manifesté en chaque détail comme dans
62 s interprétations de la légende, « jusqu’à ce que Mozart en ait découvert à la fois le médium et l’idée », d’où « la valeur cl
63 ent et dans tous les temps ». En récrire un après Mozart équivaudrait à produire une Ilias post Homerum. Du commentaire de l’o
64 s et lyriques sur le Don Juan de la légende et de Mozart . Le contraste entre cette discrétion, voire ce mutisme, et cette luxu
65 e Commandeur lui tend la main, au dernier acte de Mozart , rachetant par cet ultime défi des lâchetés qui eussent déshonoré un
66 utres, et n’a pas de prestige pour l’imagination. Mozart n’en eût rien fait, ni même Da Ponte. Il sert ici d’exemple extrême,
67 type donjuanesque selon Kierkegaard — sinon selon Mozart  ! —, que les Valmont et autres séducteurs machiavéliques du xviiie s
68 t, la visite que les deux compères firent alors à Mozart , la présence de Casanova lors de la première de Don Giovanni à Prague
69 1922. — À propos de Dona Anna : les biographes de Mozart nous assurent que ses contemporains ne doutaient pas un instant que D
45 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
70 es passions jouissent d’elles-mêmes. »94 L’un par Mozart et l’autre par Wagner accède au cœur du mythe qu’il n’a pu que rêver,
71 de la nuit tranquille du cloître. Enfin, c’est à Mozart , écrira-t-il plus tard — dans les Étapes — qu’il aura dû de n’avoir p
72 the. La thèse de Kierkegaard sur Don Juan rejoint Mozart dans sa génialité : elle réinvente la structure du drame comme par un
73 e par Kierkegaard n’est pas seulement inspirée de Mozart  : elle a pour but de démontrer que l’opéra de Mozart est le mythe pur
74 art : elle a pour but de démontrer que l’opéra de Mozart est le mythe pur, intégralement manifesté en chaque détail comme dans
75 es interprétations de la légende « jusqu’à ce que Mozart en ait découvert à la fois le médium et l’idée », d’où « la valeur cl
76 ent et dans tous les temps ». En récrire un après Mozart équivaudrait à produire une Ilias post Homerum. Du commentaire de l’o
77 s et lyriques sur le Don Juan de la légende et de Mozart . Le contraste entre cette discrétion, voire ce mutisme, et cette luxu
78 type donjuanesque selon Kierkegaard — sinon selon Mozart  ! — que les Valmont et autres séducteurs machiavéliques du xviiie si
79 livret, la visite que les deux compères firent à Mozart , la présence de Casanova lors de la première de Don Giovanni à Prague
80 autement technique, l’excellent Génie créateur de Mozart (Essai sur l’instauration musicale des personnages dans Les Noces de
46 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
81 e Commandeur lui tend la main, au dernier acte de Mozart , rachetant par cet ultime défi des lâchetés qui eussent déshonoré un
82 utres, et n’a pas de prestige pour l’imagination. Mozart n’en eût rien fait, ni même Da Ponte. Il sert ici d’exemple extrême,
83 19-2. — À propos de Dona Anna : les biographes de Mozart nous assurent que ses contemporains ne doutaient pas un instant que D
47 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 4. De l’historisme au pessimisme
84 e borné : Le « bon vieux temps » est mort : avec Mozart il a chanté sa dernière chanson : — quel bonheur pour nous, que son r
85 formation et d’une brisure du style ; au lieu que Mozart fut la dernière expression de tout un goût européen vivant depuis des
86 t plus ce qu’avait été Beethoven, ce qu’avait été Mozart à un plus haut degré, un phénomène européen ; — et avec lui la musiqu
48 1963, Articles divers (1963-1969). Apport à la civilisation occidentale (janvier 1963)
87  ? Certes, tous les pays européens n’ont pas leur Mozart , leur Rembrandt, leur Baudelaire ou leur Descartes. Mais force est bi
49 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
88 ple, mais non les forces qui l’ont configurée. Un Mozart , un Descartes, un Kipling n’auraient jamais été décelés par quelque s
89 positeurs du plus haut rang. Hölderlin ou Racine, Mozart ou Rubens, Shakespeare ou Dostoïevski seraient impensables en tant qu
50 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
90 ple, mais non les forces qui l’ont configurée. Un Mozart , un Descartes, un Kipling n’auraient jamais été décelés par quelque s
91 positeurs du plus haut rang. Hölderlin ou Racine, Mozart ou Rubens, Shakespeare ou Dostoïevski seraient impensables en tant qu
92 ressemblent aux marionnettes de Salzbourg jouant Mozart , personne ne demande « ce qu’elles veulent dire » : elles ne calligra
51 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
93 ennes tient dans l’œuvre de Bach et dans celle de Mozart . Les Messes et les Passions réduisent à peu de chose toute tentative
52 1970, Le Cheminement des esprits. Historique — Rapport général présenté à la Conférence européenne de la culture, Lausanne, du 8 au 12 décembre 1949
94 prières. C’est par la musique seule de Bach ou de Mozart que nous en possédons la substance idéale, que nous en respirons le c
53 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Il n’y a pas de « musique moderne »
95 temps, que ne le furent un Rameau, un Haydn ou un Mozart . Pourquoi cela ? Parce qu’ils écrivent de la musique en connaissance
54 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — L’Europe, l’été…
96 s dans des parcs royaux, les messes de Bach ou de Mozart dans des basiliques baroques, les mystères sur des parvis de cathédra
55 1971, Articles divers (1970-1973). L’héritage culturel de l’Europe (1971)
97 s par sublime exception : Dante, Leibniz ou Bach, Mozart ou Goethe, quelques chevaliers ou quelques moines dans l’honneur alli
56 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
98 rente et passagère éclipse du mythe. De Molière à Mozart , c’est Don Juan qui occupe la scène de sa présence insolente, bondiss
57 1976, Articles divers (1974-1977). L’Europe, l’été [préface] (1976)
99 s dans des parcs royaux, les messes de Bach ou de Mozart dans des basiliques baroques, les mystères sur des parvis de cathédra
58 1976, Articles divers (1974-1977). Histoire et prospective de l’identité européenne (1976)
100 ousseau, ou l’idée de liberté politique ; Bach et Mozart , les deux Faust, Kepler et Galilée, Bacon, Descartes, Newton, Hegel e
59 1976, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
101 ennes tient dans l’œuvre de Bach et dans celle de Mozart . Les Messes et les Passions réduisent à peu de chose toute tentative
60 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 15. Stratégie
102 sans risques, voir ce qui n’est pas là, entendre Mozart ou Bach, ou la voix de ses parents morts en touchant simplement un bo
61 1979, Articles divers (1978-1981). Formule d’une Europe parallèle ou rêverie d’un fédéraliste libertaire (1979)
103 sans risques, voir ce qui n’est pas là, entendre Mozart ou Bach ou la voix de ses parents morts en touchant simplement un bou
62 1979, Tapuscrits divers (1980-1985). Rapport intérimaire pour Ecoropa (27 juillet 1979)
104 sans risques, voir ce qui n’est pas là, entendre Mozart ou Bach ou la voix de ses parents morts en touchant simplement un bou
63 1980, Articles divers (1978-1981). Le bilan culturel de la décennie 1970-1980 (1980)
105 sique voici près de deux-cents ans par un certain Mozart , soucieux, selon Losey, d’illustrer les dures réalités de la lutte de
106 Le théâtre des meneurs en scène Les noms de Mozart et de Bertolazzi ne me paraissant pas bien utiles pour mon bilan du «
64 1983, Articles divers (1982-1985). Réponses à des questions de Marcel Proust et de Michel Moret (1983)
107 que ». Vos musiciens préférés ? Monteverdi, Bach, Mozart et Arthur Honegger. Vos écrivains préférés ? Isaïe mais aussi Eschyle
65 1985, Articles divers (1982-1985). Vocation culturelle de la Suisse en Europe (septembre 1985)
108 mpositeurs du plus haut rang. Hölderlin ou Dante, Mozart ou Rubens, Shakespeare ou Dostoïevski ne seraient guère pensables en