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sse ; l’envahisseur reconnut que les habitants du
Nidwald
avaient été les seuls de toute l’Europe à l’impressionner par leur ré
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un homme de Winterthour plutôt qu’à quelqu’un de
Nidwald
» (canton voisin). En revanche, raconte-t-il : « J’ai connu une dame
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lu entre les trois vallées d’Uri, de Schwyz et de
Nidwald
aux environs de 1300. Ce choix révèle quelque chose d’essentiel quant
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’ouest, les collines et vallées de l’Obwald et du
Nidwald
dominent l’autre extrémité du lac, et descendent jusqu’aux abords de
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s le même temps, deux communes se forment dans le
Nidwald
et dans l’Obwald, où les Habsbourg ont acquis quelques terres. Il es
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peine un tiers de la population de l’Obwald et du
Nidwald
. Que sont les libres ? Des propriétaires et paysans ne relevant pas d
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rwald, formé des deux demi-cantons d’Obwald et de
Nidwald
, et Appenzell, formé des deux demi-cantons des Rhodes intérieures et
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un homme de Winterthour plutôt qu’à quelqu’un du
Nidwald
» (demi-canton voisin). En revanche, raconte-t-il : « J’ai connu une
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» ou Waldstätten, vallées d’Uri, de Schwyz et de
Nidwald
, commandant les approches du Gothard. Ce col ouvert au commencement d
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se s’est formé sur la base des communes d’Uri, de
Nidwald
et de Schwyz. On ne parlait pas de cantons, mais bien de communes (Ge
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ères » (Waldstätten en allemand) d’Uri, Schwyz et
Nidwald
, qui commandent les abords du col du Gothard, reçoivent au xiiie siè
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Il s’agissait des communes d’Uri, de Schwyz et de
Nidwald
. On ne parlait pas de « cantons » au Moyen Âge, mais de communes. Et