1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
1 nt rafler dans le monde entier les servants des «  Panzerdivisionen  ». Quelque chose d’indéfinissable et que nous appelions Paris. C’est
2 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). « À cette heure où Paris… » (17 juin 1940)
2 vent rafler dans le monde entier les servants des Panzerdivisionen . Quelque chose d’indéfinissable et que nous appelions Paris. C’est ic
3 1942, La Part du diable. Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
3 vent rafler dans le monde entier les servants des Panzerdivisionen . Quelque chose d’indéfinissable et que nous appelions Paris. C’est ic
4 1942, La Part du diable (1944). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
4 vent rafler dans le monde entier les servants des Panzerdivisionen . Quelque chose d’indéfinissable et que nous appelions Paris. C’est ic
5 1942, La Part du diable (1982). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
5 vent rafler dans le monde entier les servants des Panzerdivisionen . Quelque chose d’indéfinissable et que nous appelions Paris. C’est ic
6 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
6 nt rafler dans le monde entier les servants des «  Panzerdivisionen  ». Quelque chose d’indéfinissable et que nous appelions Paris. C’est
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
7 nt rafler dans le monde entier les servants des «  Panzerdivisionen  ». Quelque chose d’indéfinissable et que nous appelions Paris. C’est
8 1980, Articles divers (1978-1981). Un précurseur de l’engagement politique (1er mai 1980)
8 ue force doit rester au droit. C’est ainsi qu’aux Panzerdivisionen qui venaient de réoccuper la Rhénanie, en 1936, le président du Conse