1 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
1 lle vision est primordiale, comme celle de Jean à Patmos  ; c’est-à-dire qu’elle éclate à l’origine et à la fin du temps, dans
2 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
2 lle vision est primordiale, comme celle de Jean à Patmos  ; c’est-à-dire qu’elle éclate à l’origine et à la fin du temps, dans
3 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
3 isque d’être obscur. Passe encore pour l’homme de Patmos , qui avait vu la fin de notre Histoire : l’ampleur de sa vision le sa
4 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
4 isque d’être obscur. Passe encore pour l’homme de Patmos , qui avait vu la fin de notre Histoire : l’ampleur de sa vision le sa
5 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
5 poème : le Gothard et l’Olympe, Pister, l’Indus, Patmos , et Dodone, et Délos, et Delphes, et le matin de Salamine, et l’Hespé
6 à jamais, près de vous, noms splendides ! 21. Patmos , 1801-1802. 22. Mnemosyne III, 1803. 23. « Par le fait que (le poè