1
ndiens lépreux. Le ministre d’Allemagne à La Paz,
Pillau
, réussit à les tirer de là après des semaines d’efforts fiévreux, dur
2
ès simples et qui s’expriment difficilement. Seul
Pillau
, le ministre, l’incarnation de leur nation, saura leur dire le mot de
3
leur patrie, l’idée profonde de leur nation, que
Pillau
définit comme la fidélité, et de tout sacrifier à cette fidélité. À m
4
. Mais leur drame s’exprime dans la méditation de
Pillau
, d’une manière non moins tragique. « Il découvrit, pour la première f
5
alvanisée par ses sacrifices. La haute stature de
Pillau
se dresse devant lui. Une fois encore, Pillau lui montre le sens du s
6
de Pillau se dresse devant lui. Une fois encore,
Pillau
lui montre le sens du sacrifice de « ces jeunes gens qui sont entrés
7
condition humaine ». Et plusieurs des paroles de
Pillau
, — les plus belles peut-être — pourraient s’appliquer au destin de n’
8
Le « fait nation », dans les dernières phrases de
Pillau
, n’apparaît-il pas lié au seul malheur des hommes ? Et n’est-ce point