1 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
1 ndiens lépreux. Le ministre d’Allemagne à La Paz, Pillau , réussit à les tirer de là après des semaines d’efforts fiévreux, dur
2 ès simples et qui s’expriment difficilement. Seul Pillau , le ministre, l’incarnation de leur nation, saura leur dire le mot de
3 leur patrie, l’idée profonde de leur nation, que Pillau définit comme la fidélité, et de tout sacrifier à cette fidélité. À m
4 . Mais leur drame s’exprime dans la méditation de Pillau , d’une manière non moins tragique. « Il découvrit, pour la première f
5 alvanisée par ses sacrifices. La haute stature de Pillau se dresse devant lui. Une fois encore, Pillau lui montre le sens du s
6 de Pillau se dresse devant lui. Une fois encore, Pillau lui montre le sens du sacrifice de « ces jeunes gens qui sont entrés
7 condition humaine ». Et plusieurs des paroles de Pillau , — les plus belles peut-être — pourraient s’appliquer au destin de n’
8 Le « fait nation », dans les dernières phrases de Pillau , n’apparaît-il pas lié au seul malheur des hommes ? Et n’est-ce point
2 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
9 s murs d’un fort brésilien. Et la haute statue de Pillau , le ministre d’Allemagne à La Paz — celui qui n’a pas pu sauver ses c
10 esse devant lui dans son délire. Une fois encore, Pillau lui montre le sens du sacrifice de « ces jeunes gens qui sont entrés