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cultivent avec amour le souvenir du solitaire du
Ranft
, que Rome a dès longtemps béatifié, et que la vénération du peuple, s
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stitué. À une heure de chez lui, dans la gorge du
Ranft
, il se construit une cellule, auprès d’une minuscule chapelle. Et le
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èlerins deviennent plus fréquents, qui montent au
Ranft
pour voir l’ermite fameux. Les uns poussés par la curiosité, les autr
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sives. Pendant la nuit, le curé de Stans monte au
Ranft
, et il adjure le solitaire de tenter un dernier effort. On ne sait pa
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devait par-dessus tout à l’action de l’ermite du
Ranft
. (Remarquons à ce propos que la seule chose que tout le monde sache d
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vait parlé ? Et la première visite qu’il reçut au
Ranft
ne fut-elle pas précisément celle d’un pèlerin « ami de Dieu », peut-
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n des cantons réformés se rendit en pèlerinage au
Ranft
et « sur les lieux consacrés par le souvenir du Frère Claus ». Quant