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de Renan — pourtant contemporains de Hegel ou de
Ranke
, longuement traités — ne se voient même pas mentionnés. Mais rien n’e
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istrant cette dissolution de l’idéal européen, de
Ranke
à Renan et de Nietzsche à Sorel aboutiront à une série de prophéties
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éens n’a cessé de se développer et de s’affirmer.
Ranke
ne croit nullement que le conflit de la papauté et de l’Empire, puis
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Europe ?, La Table ronde, n° 113. 3. Hegel puis
Ranke
ont fortement souligné l’importance de la conquête des Gaules, dans l
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traverser le xixe siècle : Guizot, Tocqueville,
Ranke
, Bluntschli, Lord Acton, Burckhardt et Renan, s’inscrivent dans cette
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istrant cette dissolution de l’idéal européen, de
Ranke
à Renan et de Nietzsche à Sorel, aboutiront à une série de prophéties
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que Kiev et Smolensk. Certes, les Russes, selon
Ranke
, ont bien mérité de l’Europe en la protégeant contre les Mongols. Mai
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pages 430-431. Éd. Gallimard, Paris. 224. L. v.
Ranke
: Geschichte der romanischen und germanischen Völker, Leipzig, 1824,
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ables ici et là, et les fins d’ordres différents.
Ranke
est en plus d’un sens l’anti-Hegel, par sa volonté d’objectivité, de
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re » n’a cessé de se développer et de s’affirmer.
Ranke
ne croit nullement que le conflit de la papauté et de l’Empire, puis
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nsemble, en quelque sorte comme un État. Certes,
Ranke
a vu le danger beaucoup plus grave que représentent pour l’unité fonc
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saurait être mise en question. Si Renan plus que
Ranke
croit au progrès, non sans se faire à son sujet quelques illusions ra
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s L’Avenir de la Science), il a su voir mieux que
Ranke
le danger du nationalisme pour l’Europe, pour « les intérêts de la ra
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és par une génération mieux avertie. 243. L. v.
Ranke
, Sämtliche Werke, t, 9, 2, p. 235. 244. Id. ibid., t. 43-44, p. 518
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étrangère. Mais « leur point d’origine, écrivait
Ranke
, c’est-à-dire non seulement le fondement historique, mais l’esprit qu
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un grand homme invisible ; refusant de succéder à
Ranke
dans la chaire d’histoire de Berlin, il se fit accepter dans sa cité
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un grand homme invisible : refusant de succéder à
Ranke
dans la chaire d’histoire de Berlin, il se fit accepter dans sa cité