1 1953, La Confédération helvétique. Chapitre VI. Le peuple suisse et le monde
1 tralisation exercée par Paris. Littérairement, le Romand est un Français, s’il atteint la stature d’un Rousseau, d’une Mme de
2 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
2 moi. » Mais le défaut de liberté d’expression du Romand a certainement d’autres motifs : il frappe bien davantage chez le bou
3 1969, {Title}. L’esprit romand (années 1960)
3 incapable de toute rhétorique… Bref, on a fait du Romand type l’antithèse du Français tel qu’on le parle. Inutile d’insister :