1 1953, La Confédération helvétique. Chapitre II. Les institutions politiques
1 aison, d’ailleurs bien faible, de l’économie… Et Rossi concluait en montrant les progrès « mémorables » réalisés par l’idée
2 douanières) sans toucher à la cause du mal. 14. Rossi représentait Genève à la Diète, en 1832. Cet Italien réfugié en Suiss
3 cteur du premier projet de Constitution dit pacte Rossi  ; puis il passa en France, où il fut créé pair et ambassadeur, et fin
2 1959, Articles divers (1957-1962).  Une expérience de fédéralisme : la Suisse (1959)
4 puis au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale. Rossi remarquait d’abord que la faiblesse du lien fédéral institué en Suiss
5 ison, d’ailleurs bien faible, de l’économie… » Et Rossi concluait en montrant les progrès « mémorables » réalisés par l’idée
6 État moderne de forme fédérative. L’éloquence de Rossi ne parvint pas à convaincre les partisans de l’esprit de clocher et d
7 e 1848, présente ainsi la très curieuse figure de Rossi  : « Né à Carrare, venu en Suisse comme réfugié politique au début de
3 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
8 ’est pas un Suisse : c’est un réfugié italien, le comte Pellegrino Rossi . Précisons les données du conflit dans lequel nous allons le voir int
9 rojet qui, à tort du reste, porte le nom de pacte Rossi .49 Le rapport de Rossi critique le pacte de 1815 : la faiblesse du
10 e, porte le nom de pacte Rossi.49 Le rapport de Rossi critique le pacte de 1815 : la faiblesse du lien qu’il institue entre
11 se voient ainsi partagés dans leurs allégeances. Rossi plaide pour l’établissement d’un gouvernement fédéral, synthèse vivan
12 0 Je ne décrirai pas les dispositions du projet Rossi , car les principales se retrouvent dans la Constitution de 1848. En r
13 té d’un régime de fédération. À gauche, on accusa Rossi de respecter d’une manière excessive les autonomies cantonales ; à dr
14 traditions particulières ; les uns exaltent comme Rossi l’idée d’une commune patrie, les autres crient à la « chimère imprati