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Limoges. Or il se trouve que « l’abbé laïque » de
Saint-Martial
n’est autre que Guillaume, septième comte du Poitou, neuvième duc d’A
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s mauresques et chrétiens mêlés. Il y a mieux : à
Saint-Martial
même, la musique, la poésie et l’érotique des Arabes étaient fort loi
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e fils de Guillaume IX, fut l’élève des moines de
Saint-Martial
, et Déodat Roché estime qu’il serait « opportun de rechercher les rap
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s que nous trouvons dans un versus du tropaire de
Saint-Martial
: 242. Cf. René Nelli, L’Érotique des troubadours, p. 50, qui ci