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roupait, non sans résignation, autour du siège de
Saint-Pierre
raffermi dans sa Primauté. Mais une discipline extérieure ne pouvait
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t, trop dorés. Plus loin, l’église luthérienne de
Saint-Pierre
, déshonorée par des vitraux livides et plus sulpiciens que nature. L’
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t, trop dorés. Plus loin, l’église luthérienne de
Saint-Pierre
, déshonorée par des vitraux livides et plus sulpiciens que nature. L’
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entourent le port, et que domine la cathédrale de
Saint-Pierre
, qui fut l’église de Calvin… C’est si petit, c’est si charmant, tout
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ussiront aussi aisément que celui de M. l’abbé de
Saint-Pierre
, mais puisqu’il est permis de faire des romans, pourquoi trouverons-n
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ussiront aussi aisément que celui de M. l’abbé de
Saint-Pierre
, mais puisqu’il est permis de faire des romans, pourquoi trouverons-n
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ait du Projet de paix perpétuelle de M. l’abbé de
Saint-Pierre
, par J. J. Rousseau, citoyen de Genève. Au début, l’éloge est fervent
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btenir par des pactes séparés ce que le projet de
Saint-Pierre
promettait de réaliser par un pacte général. Quant à la quatrième po
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dérative — non pas d’après le plan insuffisant de
Saint-Pierre
, mais dans le sens indiqué ici et seul valable — il conviendrait d’in
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: 1° il rompt avec la tradition Dubois — Sully —
Saint-Pierre
des alliances des princes, que Metternich et Alexandre allaient tente
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ons qu’il prononce chaque jour à la cathédrale de
Saint-Pierre
. Rien n’est plus près de la parole improvisée, rien n’est plus varié
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lly, certains furent beaucoup lus, comme celui de
Saint-Pierre
, mais aucun n’entraîna la moindre suite pratique. Tournons la page du
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ait du Projet de paix perpétuelle de M. l’abbé de
Saint-Pierre
, par J.-J. Rousseau, citoyen de Genève parut à Amsterdam en 1761. 33
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c’est à Rome qu’il ira terminer l’énorme dôme de
Saint-Pierre
comme Maderno et les deux Fontana, c’est aux États-Unis qu’il ira con
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l’égide et dans la tradition des Sully, Comenius,
Saint-Pierre
, Kant, Mazzini, Hugo et Nietzsche, dont les portraits décoraient la t
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sinois et tous cousins, ont bâti la Rome baroque,
Saint-Pierre
et les grandes basiliques. L’ingénieur Ammann, de Soleure, construit
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i le peuple genevois assemblé dans le « Temple de
Saint-Pierre
», comme il appelle la cathédrale jouant le rôle d’agora. Il ne cesse