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’appelle diversité. Elle ne sera pas non plus une
Sainte-Alliance
, ni une simple coalition, formule condamnée par l’Histoire à l’unanim
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et à négocier l’intervention des puissances de la
Sainte-Alliance
, qui avaient imposé et garanti le Pacte de 1815. Le Sonderbund pouvai
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renversement de l’ordre imposé à l’Europe par la
Sainte-Alliance
. La courte guerre civile du Sonderbund (équivalent presque littéral d
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conclut Gentz, annonçant ainsi la politique de la
Sainte-Alliance
dont il sera l’un des grands artisans : Le but de ce système n’a jam
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ique « d’équilibre des Puissances », telle que la
Sainte-Alliance
pourra la réaliser selon Burke, et par son disciple Gentz notamment,
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que, « l’équilibre européen » en précurseur de la
Sainte-Alliance
, les vertus nordiques en précurseur du racisme, la supériorité spirit
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ille partout, j’aurais eu aussi mon Congrès et ma
Sainte-Alliance
. Ce sont des idées qu’on m’a volées. Dans cette réunion de tous les s
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fédération. De fait, l’équilibre impossible de la
Sainte-Alliance
fut imposé par des souverains qui, très loin d’« embrasser de bonne f
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— et la Restauration le trouve dans le camp de la
Sainte-Alliance
. En 1815, il publie dans son journal Der Rheinische Merkur, un grand
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e une création des Germains. En 1819, il salue la
Sainte-Alliance
comme la « fondation d’une République européenne au pied des autels d
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n allemande. Enfin, en 1822, dans un essai sur La
Sainte-Alliance
et les peuples au congrès de Vérone, il demande que l’Allemagne redev
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que l’ancien, fondé sans aucune contrainte par la
Sainte-Alliance
sous la forme d’une confédération d’États. Et quels seront les ennem
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res, en termes de liberté et de patriotisme. La «
Sainte-Alliance
des Peuples » va proclamer son utopie touchante et improbable face à
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ace à la politique courte mais « positive » de la
Sainte-Alliance
des rois. Puis les derniers saint-simoniens, les fouriéristes, un agi
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doit se consumer en un cercle et tomber ; que la
Sainte-Alliance
des nations est le but de nos luttes, la seule force qui puisse terra
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urope contre Napoléon, qui plus tard formèrent la
Sainte-Alliance
, n’étaient pas des confédérés : l’absolutisme de leur pouvoir leur dé
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napoléonienne. À l’idéal du Saint-Empire et de la
Sainte-Alliance
des rois de Metternich, il substitue l’idée de la « Sainte-Alliance d
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s rois de Metternich, il substitue l’idée de la «
Sainte-Alliance
des peuples » de Béranger. Mais ce sont les États-nations qui mangero
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jacobin opprimant les autonomies, et une nouvelle
Sainte-Alliance
, interdisant toute union efficace, il s’agit de manœuvrer selon les m
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l’uniformité, c’est la mort. » Au même moment, la
Sainte-Alliance
des rois donne une base et une finalité expressément européenne à la
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pays prétendus souverains. C’est la formule d’une
Sainte-Alliance
des monarques, transposée au niveau d’États laïques et en majorité ré
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l’uniformité, c’est la mort. » Au même moment, la
Sainte-Alliance
des rois donne une finalité expressément européenne à la neutralité d
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i : la paix de l’Europe, désormais dominée par la
Sainte-Alliance
, tient au fait que la Suisse demeure inaccessible aux armées de l’Aut
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la fin de 1835) d’avoir cédé à la pression d’une
Sainte-Alliance
désireuse de la retrancher du jeu de la politique européenne et de la
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pays prétendus souverains. C’est la formule d’une
Sainte-Alliance
des monarques, transposée au niveau d’États laïques et en majorité ré
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l’uniformité, c’est la mort. » Au même moment, la
Sainte-Alliance
des rois donne une finalité expressément européenne à la neutralité d
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éalité. Ce ne saurait être davantage une nouvelle
Sainte-Alliance
des nations souveraines, même baptisée Europe des États : cette formu
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ngrès de Vienne, en 1815, les hommes d’État de la
Sainte-Alliance
annoncèrent l’ouverture d’un « concert des nations ». En fait, on n’e
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ngrès de Vienne, en 1815, les hommes d’État de la
Sainte-Alliance
annoncèrent l’ouverture d’un « concert des Nations ». En fait, on n’e