1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 3. Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
1 me pensée, celle de l’agrandissement méthodique. Sainte-Beuve , commentant et paraphrasant Thiers, note dans ses Cahiers en 1847 :
2 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe est un colosse qui s’ignore (encore) (27 juin 1962)
2 tupide tradition ce que nous avons été. En 1847, Sainte-Beuve résume ainsi l’opinion de l’historien Adolphe Thiers : Il n’y a plus
3 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
3 de tradition, ce que nous avons été.52 En 1847, Sainte-Beuve résume ainsi l’opinion de l’historien Adolphe Thiers : Il n’y a plus
4 ris pour se mettre au service de la Russie. 53. Sainte-Beuve , Cahiers, note de 1847. On trouvera dans mes Vingt-huit siècles d’Eu
4 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
5 cle aurait pu voir (mais n’a guère aperçu, à part Sainte-Beuve ) la naissance à Lausanne d’une tradition discrète de philosophie exis
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 14. L’autogestion politique
6 théologien et critique littéraire fort admiré par Sainte-Beuve , mais inconnu en France, passa toute sa vie à Lausanne. 177. Non seu