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u cours de l’explication orageuse qui s’ensuivit,
Sandys
et Churchill Jr invoquèrent l’unanimité nécessaire et firent état de
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iste, qui était en train de m’interviewer lorsque
Sandys
m’avait fait appeler, et qui avait assisté au début de l’incident, re
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tions entre gouvernements. Parlant aussitôt après
Sandys
, je demande que bien au contraire l’action européenne parte des mouve
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» européennes, et nous invitent à collaborer. Or,
Sandys
ayant exigé et obtenu que son comité anglais et le comité français ai
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er que c’eût été le cas si l’UEF avait rompu avec
Sandys
, Retinger et Courtin. Mais gardons pour plus tard l’évaluation des ré
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la phrase : “Nous voulons une défense commune”. »
Sandys
ajouta : « Cette phrase n’a pas été discutée par le Congrès. Désolé,
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ais passer à l’engagement final en cinq articles,
Sandys
fit un signe impérieux de la main afin que personne ne se lève dans l
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rent en vain de reprendre l’initiative saisie par
Sandys
et Retinger dès avant La Haye. L’équipe des dirigeants de Montreux, a
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lution culturelle (§ 4 et 5). 161. Formellement,
Sandys
avait raison : les rapports demandaient une défense commune, mais les
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deux ans plus tard, à l’Assemblée de Strasbourg,
Sandys
fit le premier discours demandant une armée européenne, suivi par son