1 1968, Articles divers (1963-1969). Vingt ans après La Haye : où en est l’Europe ? (mai 1968)
1 u cours de l’explication orageuse qui s’ensuivit, Sandys et Churchill Jr invoquèrent l’unanimité nécessaire et firent état de
2 iste, qui était en train de m’interviewer lorsque Sandys m’avait fait appeler, et qui avait assisté au début de l’incident, re
2 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
3 tions entre gouvernements. Parlant aussitôt après Sandys , je demande que bien au contraire l’action européenne parte des mouve
4 » européennes, et nous invitent à collaborer. Or, Sandys ayant exigé et obtenu que son comité anglais et le comité français ai
5 er que c’eût été le cas si l’UEF avait rompu avec Sandys , Retinger et Courtin. Mais gardons pour plus tard l’évaluation des ré
6 la phrase : “Nous voulons une défense commune”. » Sandys ajouta : « Cette phrase n’a pas été discutée par le Congrès. Désolé,
7 ais passer à l’engagement final en cinq articles, Sandys fit un signe impérieux de la main afin que personne ne se lève dans l
8 rent en vain de reprendre l’initiative saisie par Sandys et Retinger dès avant La Haye. L’équipe des dirigeants de Montreux, a
9 lution culturelle (§ 4 et 5). 161. Formellement, Sandys avait raison : les rapports demandaient une défense commune, mais les
10 deux ans plus tard, à l’Assemblée de Strasbourg, Sandys fit le premier discours demandant une armée européenne, suivi par son