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semble de l’œuvre de Hölderlin : l’inspirateur de
Schelling
et de Hegel, le précurseur de Nietzsche, l’un des plus admirables et
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13 ? Alors que toute l’Allemagne des Novalis, des
Schelling
et des Schlegel philosophe ardemment autour de cette « question » du
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bien qu’on la prenne au sérieux, fût-ce après ce
Schelling
dont, par ailleurs, Breton dit tant de mal (Introduction aux contes d
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rtes à une nouvelle mythologie, dans le sens d’un
Schelling
et déjà d’un Herder ? Certes nous sommes ici très près de l’Organismu
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s à en attendre. Erreur théologique à l’origine :
Schelling
pour appuyer son intuition concrète de la totalité du monde créé remo
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it pour Berlin où il désirait suivre les cours de
Schelling
. Il y demeura quelques mois, puis il revint à Copenhague pour y mener
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un siècle pour en voir un : Bergson, disciple de
Schelling
. 152. Voir le Journal de Novalis, et le portrait qu’il donne de sa f
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un siècle pour en voir un : Bergson, disciple de
Schelling
. 170. Voir le Journal de Novalis, et le portrait qu’il donne de sa f
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un siècle pour en voir un : Bergson, disciple de
Schelling
. 159. Voir le Journal de Novalis, et le portrait qu’il donne de sa f
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sés… ») (14 février 1948)v Mme de Staël priait
Schelling
de lui exposer sa philosophie en un quart d’heure, et l’arrêtait au b
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: « Qu’il suffise de mentionner ici la triade de
Schelling
: Sujet, Objet, Sujet-Objet, et celle de Hegel : l’en-soi de l’esprit
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philosophie russe prend son point de départ dans
Schelling
et dans Hegel, la science ne saurait faire autre chose que suivre la
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ou huit-mille ans. » Cuvier partage ces vues, que
Schelling
suit encore en plein xixe siècle, et que les catéchismes ne cesseron
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: « Qu’il suffise de mentionner ici la triade de
Schelling
: Sujet, Objet, Sujet-Objet, et celle de Hegel : l’en-soi de l’esprit
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ou huit-mille ans. » Cuvier partage ces vues, que
Schelling
suit encore en plein xixe siècle, et que les catéchismes ne cesseron
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perdue ; mais cette notion se trouve empruntée à
Schelling
… À l’égard de l’Europe décomposée et désunie, irréligieuse, révolutio
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s en prenant pour axe la Révolution. De Wieland à
Schelling
, de Herder à Hegel, en passant par un Kant ou par un Goethe, l’Allema
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ondiales à la Fichte, les deux Schlegel, Hegel et
Schelling
. Mme de Staël servira de trait d’union entre les deux domaines. Et Go
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s (parmi lesquels les frères Schlegel et le jeune
Schelling
), mais que la revue Athenæum avait renoncé à publier, comme trop « ca
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ophytes comme le fut Novalis lui-même : Schlegel,
Schelling
, Görres, Baader, Adam Müller, Clemens Brentano… Presque seuls, Fichte
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r Transcendentalen Idealismus 188 publié en 1800,
Schelling
défend l’idée d’une fédération et d’une Cour de justice international
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sens que travaille le Destructeur. Par la suite,
Schelling
en viendra, lui aussi, à n’attendre d’autre salut pour l’Europe que d
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dès le début, — pour reprendre une expression de
Schelling
— « un peuple de peuples ».218 Frantz a bien vu et dit que l’État u
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auteurs qui, comme Jean-Paul, Franz von Baader et
Schelling
, ont voulu mettre leur espoir en la Russie. La peur du panslavisme et
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philosophes allemands : Baader, Görres, Hegel, et
Schelling
surtout. Sur cet arrière-plan très complexe va se développer le grand
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de la Garde, disciple de Maistre, de Bonald et de
Schelling
, publie en 1836, dans une revue de Moscou, sa première Lettre philoso
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perdue ; mais cette notion se trouve empruntée à
Schelling
… À l’égard de l’Europe décomposée et désunie, irréligieuse, révolutio
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philosophie romantique des Allemagnes, de Kant à
Schelling
par Hegel, et cela, peu après qu’en sens inverse, l’École suisse de Z
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Dresde dans l’Allemagne romantique des Hegel, des
Schelling
, des Hölderlin et des Humboldt, au moment même où Napoléon faisait de
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les Allemagnes romantiques, celles de Hegel ou de
Schelling
, de Hölderlin ou de Humboldt, au moment même où Napoléon fait de la F
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s les Allemagnes romantiques, celles de Hegel, de
Schelling
et des Schlegel, de Novalis et de Jean-Paul, de Hölderlin et de Humbo
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Dresde dans l’Allemagne romantique des Hegel, des
Schelling
, des Hölderlin et des Humboldt, au moment même où Napoléon faisait de
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Dresde dans l’Allemagne romantique des Hegel, des
Schelling
, des Hölderlin et des Humboldt, au moment même où Napoléon faisait de
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tout Hegel (c’est vingt mille pages chacun), puis
Schelling
, et même Condillac et tous les autres. Marx en entier, mais jamais ce
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us les philosophes romantiques allemands, Fichte,
Schelling
, Baader, Görres, les frères Schlegel, dont l’européocentrisme ne le c
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us les philosophes romantiques allemands, Fichte,
Schelling
, Baader, Görres, les frères Schlegel, dont l’européocentrisme ne le c