1 ute la petite cour de Coppet, Gibbon, Schlegel et Sismondi . Ce foyer s’éteint pour un temps. Il en renaît un autre à Bâle : Jaco

2 blent des plus aigres ironies, en France surtout. Sismondi faisait remonter aux Arabes le mysticisme du sentiment : on écarte dé

3 alogies avec les métaphores courtoises. ⁂ Lorsque Sismondi avança l’hypothèse d’une influence arabe sur la lyrique provençale, A

4 blent des plus aigres ironies, en France surtout. Sismondi faisait remonter aux Arabes le mysticisme du sentiment : on écarte dé

5 alogies avec les métaphores courtoises. ⁂ Lorsque Sismondi avança l’hypothèse d’une influence arabe sur la lyrique provençale, A

6 blent des plus aigres ironies, en France surtout. Sismondi faisait remonter aux Arabes le mysticisme du sentiment : on écarte dé

7 logies avec les métaphores courtoises. ⁂ Lorsque Sismondi avança l’hypothèse d’une influence arabe sur la lyrique provençale, A

8 liqué aux ouvriers d’industrie, fut introduit par Sismondi dès 1819. Trente ans plus tard, Marx pouvait dire avec raison, que le

9 liqué aux ouvriers d’industrie, fut introduit par Sismondi dès 1819. Trente ans plus tard, Marx pouvait dire avec raison que les

10 e de Staël et de sa cour cosmopolite, où brillent Sismondi et Benjamin Constant, initiateurs l’un de l’économie et l’autre de la

11 lisme économique et politique : grâce à Schlegel, Sismondi et Constant. Cinquante ans plus tard, c’est à Bâle que s’allume un no

12 par l’intermédiaire d’un Italien devenu Genevois, Sismondi  ; d’un Vaudois qui deviendra plus tard Français : Benjamin Constant ;