1 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
1 -guerre, illustrées par les livres monumentaux de Spengler (Le Déclin de l’Occident) et du comte Keyserling. Il faut reconnaître
2 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
2 e : elle s’est vérifiée en Allemagne, à propos de Spengler par exemple, dont on sait l’influence qu’il exerça sur les prodromes
3 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
3 uveau et Ruskin, C. G. Yung et Caillaux, Husserl, Spengler et M. Tailledet, etc., etc. À tous ces messieurs et dames, on oppose
4 i sont postérieurs d’une trentaine d’années ; que Spengler n’est pas un admirateur de l’Orient, mais le contraire (p. 153) ; que
4 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — I. Le problème de la culture
5 les moins créateurs au sens absolu de ce mot : un Spengler , un Huxley, un Joyce, un Proust, un Gide et d’une manière générale, t
6 uidation ressemble à un plan quinquennal. Quant à Spengler , il prophétise, mais le dos tourné à l’avenir : il ne sait que décrir
5 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — I. Le problème de la culture
7 les moins créateurs au sens absolu de ce mot : un Spengler , un Huxley, un Joyce, un Proust, un Gide et d’une manière générale, t
6 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
8 avant la guerre par des penseurs aussi divers que Spengler , Valéry et Huizinga, se soit généralement substituée dans nos esprits
7 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
9 avant la guerre par des penseurs aussi divers que Spengler , Valéry et Huizinga, se soit généralement substituée dans nos esprits
8 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
10 jamais rien inventé32. Finalement, de Nietzsche à Spengler , en passant par Scheler et Schubert, on nous a représenté une espèce
9 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VIII. L’aventure technique
11 jamais rien inventé68. Finalement, de Nietzsche à Spengler , en passant par Scheler et Schubart, on nous a représenté une espèce
10 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre IX. Les ambivalences du progrès
12 88. Est-il besoin de rappeler ici les œuvres de Spengler et de Toynbee, qui ont tant fait pour accréditer l’idée d’une décaden
11 1957, {Title}. [Préface] Europe and the Europeans, édité par Max Beloff (21 février 1957)
13 ais il excluait Francfort, Copenhague, Amsterdam. Spengler tient que l’Europe débute avec le Saint-Empire romain germanique, mai
12 1957, Articles divers (1957-1962). De l’unité de culture à l’union politique (mai 1957)
14 ais il excluait Francfort, Copenhague, Amsterdam. Spengler tient que l’Europe débute avec le Saint-Empire romain germanique, mai
13 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
15 de la qualité. Alors les prophéties lugubres d’un Spengler , ou les spéculations fascinantes d’un Toynbee, inspirées par l’idée m
14 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la prétendue décadence de l’Occident (avril 1958)
16 sur nos perspectives prochaines. Sorel, Bergson, Spengler , Valéry et Toynbee et plusieurs centaines d’autres à leur suite nous
15 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation et loisirs : les mass médias (mai 1959)
17 rits. On ne cesse de nous répéter depuis Sorel et Spengler que l’Occident va vers une décadence inévitable, et que la vulgarisat
16 1959, Articles divers (1957-1962). La nature profonde de l’Europe (juin 1959)
18 . De Montesquieu et de Gibbon au xviiie , jusqu’à Spengler et à Toynbee dans notre siècle, en passant par les philosophes du rom
17 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Carlo Curcio, Europa, Storia di un’idea (septembre 1959)
19 ices aux étudiants de la réalité européenne qu’un Spengler , un Toynbee, un Keyserling, voire un Ortega y Gasset. C’est un instru
18 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Luis Diez del Corral, El rapto de Europa (septembre 1959)
20 llemands — Hegel, Nietzsche, Meinecke, Max Weber, Spengler , Dilthey et Jaspers — mais aussi à Auguste Comte, à Toynbee, et à sai
19 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
21 gée, — la nôtre aussi. Aux débuts du xxe siècle, Spengler va plus loin ; il est convaincu que toute culture est un organisme, e
22 mps. Les prophètes de la décadence de l’Occident, Spengler , Valéry et Toynbee, se fondaient sur le précédent de civilisations an
20 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 3. Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
23 oire des civilisations. Mais à la différence d’un Spengler ou d’un Toynbee, Gibbon, comme les Schlegel, Hegel et Comte, qui écri
21 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 3. Synthèses historico-philosophiques (I)
24 ands systèmes « weltgeschichtlich » de Schlegel à Spengler en passant par Hegel : Est-ce le Nord ou le Sud, le Levant ou le Cou
22 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Sixième Partie. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — 1. « Tout s’est senti périr »
25 olution de l’histoire. Le premier d’entre eux fut Spengler . Il est remarquable que le titre du grand ouvrage d’Oswald Spengler (
26 ne surent pas enregistrer. C’est à ce titre que Spengler doit le plus clair de sa célébrité, dans un public immense qui souven
27 ense qui souvent ne l’a pas lu, mais qui sait que Spengler est célèbre et qu’il prévoit notre déclin. Qu’en est-il, en réalité,
28 plus tôt qu’il ne le pensait, et c’est fini. Mais Spengler reste un des témoins les plus sincères et importants de l’aventure oc
29 omme les nations, selon Hegel, les cultures selon Spengler doivent réaliser leur idée formatrice, épanouir leur vocation, puis d
30 e Guerre mondiale et terminé en 1917, le livre de Spengler fut en réalité un ouvrage d’anticipation : il révélait les causes des
31 as Hobbes à Orwell, en passant par Swift, Butler, Spengler et Huxley) ou des grands Utopistes (de Bacon à notre science-fiction,
23 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Sixième Partie. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — 2. Crépuscule ou nouvelle aurore ?
32 sont tous sévères, mais on a pu remarquer que, de Spengler à Maritain, une évolution se dessine vers un possible espoir nouveau,
33 , à se discipliner. La dialectique romantique de Spengler concluait à la décadence inévitable. Ortega, concluant à l’union néce
34 l’Histoire ? Nietzsche, de la philosophie duquel Spengler a déduit, par une grossière incompréhension, sa doctrine historique d
24 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Septième Partie. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
35 l’empereur, ce chrétien aussi est idolâtre.285 Spengler n’est pas moins dur. Rome n’est pour lui que la « civilisation » exté
36 la différence entre culture et civilisation286. Spengler ajoute, un peu plus loin : Les Romains ont, les premiers, par leur é
37 ne. 2° Les prophètes de la décadence de l’Europe, Spengler , Valéry et Toynbee, se fondaient tous sur le précédent de la chute de
38 en point accélérer le cours et accepter son sort. Spengler calcule que la civilisation occidentale entrera vers 2200 dans un sta
39 est beaucoup moins en décadence que ne le suppose Spengler . Mais sa culture est beaucoup moins étanche qu’il ne l’avait imaginé,
25 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe est un colosse qui s’ignore (encore) (27 juin 1962)
40 in 1962)o p Un certain défaitisme européen, de Spengler à Toynbee et de Sorel à Sartre, semble avoir persuadé nos élites comm
26 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
41 et moraux ? ⁂ Un certain défaitisme européen, de Spengler à Toynbee et de Sorel à Sartre51, semble avoir persuadé nos élites co
27 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
42 de la qualité. Alors les prophéties lugubres d’un Spengler , ou les spéculations fascinantes d’un Toynbee, inspirées par l’idée m
28 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
43 nt, donnent des fruits, fanent et meurent. Hegel, Spengler et Toynbee ont développé cette idée, séduisante mais fausse. Aujourd’
29 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
44 ais il excluait Francfort, Copenhague, Amsterdam. Spengler tient que l’Europe débute avec le Saint-Empire romain germanique, mai
45 ogée — la nôtre aussi. Aux débuts du xxe siècle, Spengler va plus loin ; il est convaincu que toute culture est un organisme et
46 mps. Les prophètes de la décadence de l’Occident, Spengler , Valéry et Toynbee, se fondaient sur le précédent de civilisations an
30 1970, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les prophètes de la décadence (24 septembre 1970)
47 ogée — la nôtre aussi. Aux débuts du xxe siècle, Spengler va plus loin ; il est convaincu que toute culture est un organisme et
48 mps. Les prophètes de la décadence de l’Occident, Spengler , Valéry et Toynbee, se fondaient sur le précédent de civilisations an
31 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — Pronostics 1969 (une interview)
49 donnent des fruits, se fanent et meurent. Hegel, Spengler et Toynbee ont développé cette idée, séduisante mais fausse. Aujourd’
32 1976, Articles divers (1974-1977). Histoire et prospective de l’identité européenne (1976)
50 é. Cette culture a produit — comme déchets, selon Spengler — la civilisation mondiale du xxe siècle, technologie et pollution c
33 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 5. Naissance de la prospective
51 illeurs également vrai, également indémontrable. Spengler projetait vers l’avenir les modèles éprouvés de la Grèce et de Rome,
34 1978, Cadmos, articles (1978–1986). L’Intellectuel contre l’Europe (été 1978)
52 sme d’un Jacob Burckhardt, d’un Nietzsche et d’un Spengler  ; à quoi l’on pourrait ajouter celui d’un Gobineau, précurseur du Pau
35 1979, Cadmos, articles (1978–1986). L’Europe comme invention de la culture (automne 1979)
53 res. Qu’il suffise de citer les noms allemands de Spengler , Thomas Mann et Keyserling ; français de Sorel, Valéry, Gide, Jules R
36 1979, Articles divers (1978-1981). Considérations sur une charte culturelle européenne : mémorandum (17 décembre 1979)
54 ge gouvernemental le sens qu’il avait pris depuis Spengler dans les essais philosophiques et sociologiques, de phénomène global
37 1980, Articles divers (1978-1981). L’Europe, invention culturelle (1980)
55 res. Qu’il suffise de citer les noms allemands de Spengler , Thomas Mann et Keyserling ; français de Sorel, Valéry, Gide, Jules R
38 1982, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’amour, les régions et l’Occident (20 août 1982)
56 comme vous avez raison de le marquer, je citerais Spengler , Toynbee, Paul Valéry, Lewis Mumford, et j’oserais suggérer mes livre